La musulmane qui avait commis des actes de vandalisme et de profanation – contre le bas-relief de Marie-Madeleine d’un autel – dans l’église Sainte-Marie-Madeleine de Rennes-le-Château le 23 avril dernier (voir ici), n’a pas été jugée irresponsable par les psychiatres qui l’ont examinée. Elle se retrouvera donc au tribunal correctionnel le 8 septembre prochain…
Après avoir été examinée par un médecin, la jeune femme est admise à l’hôpital psychiatrique de Limoux (Aude). Elle y a reçu des soins jusqu’en fin de semaine dernière. « Elle a ensuite été placée en garde à vue, puis déférée au parquet, précise le procureur de la République de Carcassonne, Vincent Auger. Il n’y a pas d’abolition de son discernement. Elle sera jugée le 8 septembre prochain pour dégradation d’un effectif [sic pour édifice] affecté au culte. » En attendant, elle a été placée sous contrôle judiciaire, avec interdiction de se rendre sur les lieux où a été commis son forfait.
Source : Midi Libre, 12 mai (merci N. B. J. pour ce signalement)
Retour dans son pays car elle recommensera
C’est drôle, ça. Dès que ces gens-là commettent un délit, un crime , voire un attentat, ils invoquent systématiquement des problèmes psychologiques. Incapables d’assumer leurs actes. Comme des lâches, quoi!
Comme le suggère André: “Retour au pays”. Valable aussi pour tous ceux de son engeance qui haïssent la France et ses coutumes.
Quels sont exactement les dégâts que cette abrutie de muz a commis sur ce bas-relief ?
On n’entre pas dans leurs satanées mosquées, pourquoi viennent-ils profaner et détruire nos monuments et œuvres chrétiens ?
Des Soros ou autre Bergé les paient pour ça
Convoquée en….Septembre,par le Tribunal!!!!
Elle ne sera pas la 1ère…ni la dernière,hélas!à ne pas “pouvoir “se présenter le jour de sa convocation…pour cause de vacances au bled,en famille!!
Enfin, un procès publique, que l’on connaisse ce que les imams enseignent de la religion chrétienne, et qu’elle explique son coran et son djihad, mais elle sera probablement absente, ou bien le tribunal escamotera le problème
Ah, pour une fois ! l’auteur n’est pas frappé de folie irresponsable. Espérons que cette fois-ci, justice sera faite.
hahahaha ils l’ont collée à Javouhey (hôpital psychiatrique de Limoux ), qu’ils l’y laissent définitivement!
Je suis d’accord que dans le contexte de l’époque, cette non-folle a commis un délis mais honnêtement, et si c’est ce que je comprends, elle a frappé une représentation du démon. Pas mal, non? (Qu’est-ce que cette manie de statufier dans des édifices censés entre des églises le diable?)
@Philippe
En France, très rares sont les églises catholiques où ne figure aucune représentation du diable, quelque nom qu’on lui donne : Lucifer, Satan ou Belzébuth, à un endroit ou un autre, sous une forme ou une autre : humanoïde diable cornu grimaçant aux oreilles pointues, pieds et mains griffus, langue bifide, ou bien bestial, serpent, dragon, bouc velu aux sabots fendus, taureau, oiseaux, ou des créatures mi-humanoïdes mi-bestiales ou monstres très bizarres…
Cette petite anthologie portant sur les églises construites entre les années 1000 à 1500 est intéressante
http://wodka.over-blog.com/2015/01/les-images-du-diable-1000-1500-ap-jc.html
Tout simplement parce que le diable est une réalité basique de notre foi chrétienne ; que jusqu’à une époque pas si ancienne (au regard de la date de construction de la grande majorité de nos églises catholiques) un grand nombre de fidèles étaient analphabètes et que toutes les représentations figuratives, peintures, sculptures, vitraux etc. étaient le catéchisme en images de tous ces gens.
Bien sûr ses représentations sont nées de l’imagination humaine, très fertile et féconde en ce domaine.
Mais Satan n’est pas incongru dans une église chrétienne, il faut constamment se souvenir qu’il est l’ennemi de nos âmes (Psaume 143,3), notre accusateur “jour et nuit” devant Dieu (Apocalypse 12,10). Mais… nous avons un puissant défenseur, un avocat hors pair “Jésus-Christ le juste” (1 Jean 2,1)
je me suis toujours demandé pourquoi ils tien nent tant à venir chez nous puisqu’ils ne nous aiment pas