Une information de ce jour parue dans Le Dauphiné sur une profanation survenue dans la nuit de mercredi à jeudi. Le communiqué du diocèse de Grenoble-Vienne, signalé dans l’article, est introuvable sur le site du diocèse qui a porté plainte.
Dans un communiqué envoyé ce matin [21 février], le diocèse de Grenoble s’est insurgé contre la profanation de la chapelle du village olympique. « Lorsqu’un fidèle est arrivé pour préparer la messe de jeudi [20 février], il a constaté une effraction puis remarqué que le ciboire contenant les hosties consacrées avait été volé. Il n’y a pas eu de revendication particulière, mais pour nous cela constitue une profanation que nous ne voulons pas banaliser. Nous ne pensons pas qu’il s’agit d’un acte de christianophobie, mais d’un vol », explique le responsable de la communication du diocèse.
Si ce n’est pas de la christianophobie, ce n’est assurément pas non plus par “christianophilie” qu’un individu a fracturé le tabernacle…
Source : Le Dauphiné
Je dois vieillir, j’ai quelque mal à comprendre la situation. Que signifierait la disparition du communiqué du diocèse?
@makar
Je n’ai pas écrit qu’il avait “disparu”. J’ai simplement dit que je ne l’y trouvais pas. La section du site diocésain annonçant ses communiqués est vide de… tout communiqué.
C’est un vol . Mais le vol d’une coupe consacrée dans la chapelle d’un village olympique. Au moment même où, dans autre village olympique, des athlètes valeureux reçoivent des coupes . De fil en aiguille on peut découvrir l’intention maligne qui anime ce vol: l’auteur du vol s’auto-décerne une coupe pour son exploit. Ou pire, il veut dire que c’est l’Eglise du Christ qui la lui décerne. Un geste crapuleux certes, mais également très pervers.
Lorsqu’il n’y avait en France que des catholiques et des républicains athées les églises étaient respectées , les tags n’existaient pas sur aucun bâtiment public ; la France a bien changé