Le régime islamique de Téhéran ne cesse d’envoyer des signaux contradictoires sur sa manière de traiter les minorités chrétiennes en Iran. Il tolère la vente, l’achat, la consommation et l’usage cultuel de vin pour certaines communautés chrétiennes, mais l’interdit pour d’autres et les réprime avec férocité. Des tribunaux islamiques cassent des jugements condamnant de manière inique des chrétiens, tandis que d’autres les confirment et les aggravent… L’Agence Fides nous apporte, dans une dépêche, deux de ces cas contradictoires.
Le chrétien iranien Mostafa Bordbar a été remis en liberté après avoir remporté le recours déposé contre la condamnation à dix années de réclusion qui lui avait été infligée en juillet dernier. Ainsi que Fides a pu l’apprendre, la remise en liberté a eu lieu le 3 novembre dernier, suite à une décision de la Cour d’appel qui l’a innocenté, retenant nulles les accusations portées contre lui, dont celle d’appartenir à « une organisation œuvrant contre la sécurité nationale ». Ainsi que le rappelle dans une note envoyée à Fides par l’ONG Christian Solidariety Worldwide (CSW), Mostafa Bordbar avait été arrêté le 27 décembre 2012 en compagnie de 50 autres chrétiens réunis pour célébrer Noël dans une maison du nord de Téhéran. Après un long interrogatoire, les fidèles avaient été remis en liberté à l’exception de Mostafa Bordbar et du pasteur arménien Vruir Avanessian, ce dernier ayant été remis en liberté sous caution en janvier dernier. Dans un autre cas sensible, le pasteur Saeed Abedini, qui dispose de la double nationalité américaine et iranienne, condamné à huit ans de réclusion, a été transféré le 3 novembre à la tristement célèbre prison de Shahr Raja, dans la ville de Karaj. Le pasteur se trouve dans la section n° 3 de la prison, connue pour accueillir les détenus les plus violents du pays. Selon ce qu’indique CSW à Fides, le pasteur a été transféré parce qu’il avait organisé une protestation pacifique avec d’autres détenus contre les mauvais traitements infligés aux détenus, qu’il subissait lui-même, dans la prison d’Evin de Téhéran où il se trouvait précédemment. Dans la note envoyée à Fides, le directeur de CSW, Mervyn Thomas adresse « des éloges de la magistrature iranienne pour avoir vérifié la vérité dans le cas du chrétien Mostafa Bordbar » mais « déplore le mauvais traitement réservé à Saeed Abedini » arrêté, comme cela est le cas pour d’autres chrétiens, « sur la base d’accusations politiques totalement illégitimes ».
Source : Agence Fides
Les iraniens sont dans un combat spirituel terrible Nephtar et Nehtali. Beaucoup se rendent compte de l’injustice et de l’aberration de ces jugements alors que les chrétiens iraniens ne font aucun mal en Iran.
Jésus (Chapitre 38, Volume 10 ) à propos de
” L’évangile tel qu’il m’a été révélé “de Maria Valtorta.
Dimanche 10 novembre 2013, Trente-deuxième dimanche du temps ordinaire
Évangile de Jésus-Christ selon saint Luc 20, 27-38.
” L’évangile tel qu’il m’a été révélé “de Maria Valtorta.Extrait :
“Vous vous trompez. Vous ne savez comprendre ni les Écritures ni la puissance de Dieu. Très différente de celle-ci sera l’autre vie, et dans le Royaume éternel n’existeront pas comme dans celui-ci les nécessités de la chair. Car, en vérité, après le jugement final la chair ressuscitera et se réunira à l’âme immortelle pour reformer un tout, vivant comme et mieux que n’est vivante maintenant ma personne et la vôtre, mais elle ne sera plus sujette aux lois et surtout aux impulsions et aux abus qui existent maintenant. À la résurrection les hommes et les femmes ne se marieront pas, mais ils seront semblables aux anges de Dieu dans le Ciel qui ne se marient pas, tout en vivant dans l’amour parfait qui est divin et spirituel. Quant à la résurrection des morts, n’avez-vous pas lu comment du buisson Dieu a parlé à Moïse? Que dit alors le Très Haut? “Je suis le Dieu d’Abraham, le Dieu d’Isaac, le Dieu de Jacob”. Il n’a pas dit: “J’ai été”, pour faire comprendre qu’Abraham, Isaac et Jacob avaient existé, mais n’existaient plus. Il a dit: “Je suis”. Parce qu’Abraham, Isaac et Jacob existent. Immortels. Comme tous les hommes dans leur partie immortelle, tant que les siècles dureront, et ensuite avec la chair ressuscitée pour l’éternité. Ils existent comme existe Moïse, les prophètes, les justes, comme, malheureusement, existe Caïn, et ils existent ceux du déluge, et les sodomites, et tous ceux qui sont morts en faute mortelle. Dieu n’est pas le Dieu des morts, mais des vivants.” “Est-ce que Toi aussi tu mourras et ensuite seras vivant?” disent-ils pour le tenter. Ils sont déjà las de leur douceur. Leur rancœur est telle qu’ils ne savent pas se contenir. “Je suis le Vivant et ma Chair ne connaîtra pas la Décomposition. L’arche nous a été enlevée et l’actuelle sera enlevée même comme symbole. Le Tabernacle nous a été enlevé et sera détruit. Mais le vrai Temple de Dieu ne pourra être enlevé ni détruit. Quand ses adversaires croiront l’avoir fait, alors ce sera le moment qu’il s’établira dans la véritable Jérusalem, dans toute sa gloire. Adieu.” Et il se hâte vers la Cour des Israélites car les trompettes d’argent appellent au sacrifice du soir. Jésus me dit: “Comme je t’ai fait remarquer l’expression “à mon calice” dans la vision où la mère de Jean et de Jacques demande une place pour ses fils, je te dis de même de remarquer dans la vision d’hier le passage: “celui qui tombera contre cette pierre se fracassera”. Dans les traductions on se sert toujours de “sur”. J’ai dit contre, et non pas sur. Et c’est une prophétie contre les ennemis de mon Église. Ceux qui la contrecarrent en se jetant contre Elle, parce qu’Elle est la Pierre angulaire, se trouvent fracassés. L’histoire de la Terre, depuis vingt siècles, confirme ce que je dis. Les persécuteurs de l’Église se fracassent en se jetant contre la Pierre angulaire. Cependant aussi, et qu’ils y pensent aussi ceux qui, parce qu’ils appartiennent à l’Église, se croient à l’abri des châtiments divins, celui sur qui tombera le poids de la condamnation du Chef et Époux, de cette Épouse qui est la mienne, de ce Corps Mystique qui est le mien, celui-là sera écrasé. Et pour prévenir une objection des scribes et sadducéens toujours vivants et malveillants pour mes serviteurs, je dis: Si dans ces dernières visions se trouvent des phrases qui ne sont pas dans les Évangiles, telles que celles de la fin de la vision d’aujourd’hui, et des passages où je parle du figuier desséché et d’autres encore, qu’eux se rappellent que les évangélistes étaient toujours de ce peuple, et qu’ils vivaient dans les temps où tout heurt un peu trop vif pouvait avoir des répercussions violentes et nuisibles aux néophytes. Qu’ils relisent les Actes des Apôtres et ils verront qu’elle n’était pas paisible la fusion de tant de pensées différentes, et que s’ils s’admiraient mutuellement, en reconnaissant leurs mérites réciproques, il ne manqua pas parmi eux des dissentiments par-ce que les pensées des hommes sont variées et toujours imparfaites. Et pour éviter des ruptures plus profondes entre une pensée et une autre, éclairés par l’Esprit-Saint, les Évangélistes omirent volontairement dans leurs écrits des phrases qui auraient choqué l’excessive susceptibilité des hébreux et scandalisé les gentils, qui avaient besoin de croire parfaits les hébreux, qui formaient le noyau d’où venait l’Église, pour ne pas s’éloigner en disant: “Ils sont comme nous”. Connaître les persécutions du Christ, oui. Mais les maladies spirituelles du peuple d’Israël désormais corrompu, surtout dans les classes les plus élevées, non. Ce n’était pas bien. Et ils les voilèrent le plus qu’ils purent. Qu’ils observent comment les Évangiles deviennent de plus en plus explicites, jusqu’au limpide Évangiles de mon Jean, à mesure qu’ils étaient écrits à une époque plus éloignée de mon Ascension vers mon Père. Jean est le seul à rapporter entièrement même les taches les plus douloureuses du noyau apostolique en nommant ouvertement Judas “voleur”, et il rappelle intégralement les bassesses des juifs (chapitre 6 – la volonté feinte de me faire roi, les disputes au Temple, l’abandon d’un grand nombre après le discours sur le Pain du Ciel, l’incrédulité de Thomas). Dernier survivant, ayant vécu assez pour voir l’Église déjà forte, il lève les voiles que les autres n’avaient pas osé lever. Mais maintenant l’Esprit de Dieu veut que l’on connaisse même ces paroles, et qu’ils en bénissent le Seigneur car ce sont autant de lumières et autant d’indications pour les justes de cœurs.”
Encore plus étonnant, le souhait de Rohani de faire alliance avec la Saint siège pour lutter contre le radicalisme et les déclarations de son ministres des affaires étrangères “la condition des minorités religieuses, telles que els chrétiens en Syrie, sont pour nous motif de préoccupation” ….! En Syrie, certes, pas en Irak, dirait-on. Le cynisme n’a pas de limites.