C’est une étudiante de la Universidad Autónoma (Université autonome) de Madrid qui a révélé publiquement l’affaire dans une lettre au 15 juin au recteur de cette université publique située à 15 km au nord de la capitale espagnole. Cette université dispose, sur son campus, d’une chapelle pour ses étudiants catholiques, et c’est cette dernière qui a été taguée, à l’extérieur et à l’intérieur, de slogans laïcistes, féministes et pro avortement. C’est la première fois, depuis sa création en 1968, que cette chapelle fait l’objet d’une telle profanation. La police, chargée de l’enquête, se concentre sur des mouvements féministes extrémistes.
Source : HaztOir.org, 16 juin
Quand le monde universitaire dit” Un enfant s’est la dette de la société”. Alors bonsoirs l’avenir!Féministe comme d’autres folies mettent en péril, la famille!