J’ai dit ce que j’avais à dire sur la dernière abomination de Charlie Hebdo. Je ne peux que féliciter l’AGRIF d’intenter une action judiciaire contre ces turlupins. Voici le communiqué de Bernard Antony, président de l’AGRIF qui l’annonce. Il convient d’aider l’AGRIF en y adhérant.
La couverture de Charlie Hebdo de cette semaine, immonde crachat sur le Christ en croix, est une vomissure d’obsédé sexuel et scatologique.
Son auteur se glorifie d’avoir atteint les sommets de la dérision pornographique blasphématoire.
On imagine sans mal dans quel univers mental habite ce misérable.
Ce serait se ravaler à son niveau de putridité que de camper sa gueule dans une composition aussi infrahumaine.
Le personnage est évidemment un lâche. Il sait qu’il ne risque rien en offensant les catholiques. Car aujourd’hui encore, pareille abomination sur le prophète Mahomet déclencherait un tsunami d’indignation dans tout l’islam, pas seulement chez les jihadistes.
Certains nous diront que le blasphème, même au plus haut degré d’abjection, ne tombe pas sous le coup de la loi.
Mais l’atteinte au respect de la dignité humaine ne peut être sans limite.
Sur ma demande, nos avocats préparent dès aujourd’hui l’action judiciaire qui s’impose sur le fondement de la jurisprudence de la Cour Européenne des Droits de l’Homme.
Source : AGRIF, 19 mars 2019.
On a vu le prix payé par Charlie Hebdo il y a 4 ans après les caricatures de Mahomet. C’est donc avec la lus grande lâcheté que les caricatures sont dirigées à présent contre le christianisme : ces journaleux ne risquent rien … à moins que ce torchon écope d’une amende de 1000 euros, comme dans le cas du rappeur auteur de “Pendez les Blancs” ?
Cela fait longtemps que ce pauvre charlie s’en prend régulièrement à la Chrétienté.
Ses moyens intellectuels sont grossiers et dictés par son idéologie nihiliste-anar d’obsédés sexuels qui n’ont pas, par ailleurs, dépassés le stade pipi-caca.