Le tagueur est probablement de la mouvance anarcho-gauchiste et les faits sont survenus dans la nuit du vendredi 15 au samedi 16 février 2019. Cette église avait déjà été taguée dans la nuit du 17 au 18 mai 2017. La série noire continue en ce mois de février…
« Ni église ni État » ou encore « L’autorité c’est le viol ». Voilà les écriteaux que les habitants du secteur ont découverts sur les murs de l’église Saint-Joseph, samedi [16 février 2018]. Des inscriptions faites en lettres capitales et à la bombe de peinture noire, de chaque côté de l’édifice. « Les faits se sont sûrement déroulés dans la nuit puisqu’on les a découverts au petit matin », confie une paroissienne du quartier. Une plainte va être déposée par le diocèse et c’est l’unité de recherches judiciaire qui sera saisie de l’enquête, comme c’est le cas dans ce type de dégradations.
Source : L’Est Républicain, 18 février (merci A. R. pour ce signalement)