J’avais signalé, dans un post du 4 avril 2018, les profanations perpétrées contre la tombe de ce prêtre le 31 mars puis le dimanche de Pâques 1er avril 2018. Les enquêtes de la gendarmerie n’ont pas permis de trouver les profanateurs. L’affaire est classée…
En avril dernier, la tombe de l’abbé Yann-Vari Perrot avait été profanée. Réveillant soudainement des passions irraisonnées que l’on croyait appartenir à l’Histoire, cette profanation avait soulevé une juste indignation générale. Des inscriptions avaient été apposées sur la tombe dont la croix avait été mise à terre, ainsi que sur les marches et les murs de la chapelle de Notre-Dame de Koat Keo. Un peu plus loin, un bâtiment non religieux avait lui aussi été touché. C’est lors de la traditionnelle cérémonie assurée le lundi de Pâques que cette profanation avait été découverte. Les propriétaires de la tombe, le diocèse de Quimper & Léon et les propriétaires d’un bâtiment attenant avaient porté plainte, mais nous avons appris il y a quelques jours que l’enquête menée par la gendarmerie n’ayant pas abouti, cette affaire est classée sans suite.
Source : Ar Gedour, 27 janvier (merci E. C. pour ce signalement)
C’est scandaleux!
J’imagine que s’il avait été écrit COCO toute la STASI politique française serait sur les dents pour rechercher les couplables et leur imposer la peine maximale…