Si vous aviez le moindre doute que les médias d’État et de l’établissement vous méprisent ou vous ignorent, voici de quoi le lever. Suite au scandale qui a mobilisé beaucoup, vraiment beaucoup de mécontentement, l’auteur du scandale, Frédéric Fromet et Florence Bloch, la médiatrice de cette radio étatique, ont présenté leurs excuses. Voyez comment…
Frédéric Fromet : « Chères auditrices, chers auditeurs, je constate que ma chronique est ratée. Elle n’avait pour but que de dénoncer l’homophobie. J’ai été si mal compris que j’ai même heurté une association LGBT. C’est ma faute, donc. Je le reconnais bien volontiers. Je présente mes excuses aux personnes que j’ai blessées, tout en revendiquant mon droit à l’erreur dans un exercice qui reste très périlleux. Bien à vous ».
Laurence Bloch : « Chères auditrices, chers auditeurs, vous avez été très nombreux à manifester votre indignation et votre colère après la diffusion sur l’antenne de France Inter de la chanson de Frédéric Fromet consacrée au Christ et à sa possible [sic] homosexualité. Je voudrais vous dire d’emblée que la crudité de certaines expressions ne me semble pas appropriée, quelles que soient les intentions de l’auteur que je connais bien et dont j’estime le travail par ailleurs. Frédéric Fromet est “l’homme du vendredi” dans l’émission “Par Jupiter”, émission quotidienne dont la mission est à la fois d’être une émission d’accueil des invités et d’humour affiché où la caricature et la satire passent au peigne fin l’actualité. Il est le “chansonnier” qui vient clore la semaine et proposer aux auditeurs son regard acéré sur ce qui l’a choqué, dérangé, interpellé dans le foisonnement des événements de la semaine avec une liberté de ton qui caractérise l’émission et sur laquelle il n’y a aucune ambiguïté pour les auditeurs. Il couvre à sa façon depuis 5 ans l’horreur des attentats, la violence de nos sociétés, l’indifférence aux malheurs du monde sur un mode humoristique et paroxystique. C’est un exercice extrêmement difficile, risqué et donc quelquefois raté. Tout le propos de la chanson consacrée à l’interdiction par un juge brésilien d’une fiction au prétexte que Jésus semblait entretenir une relation homosexuelle, était clairement de dénoncer l’homophobie que manifestait cette décision [resic] mais l’outrance de certaines expressions a pu rendre presque inaudible cette intention. Je voudrais donc à mon tour présenter aux auditeurs et auditrices que cette chronique a pu choquer tous mes regrets les plus sincères. Je voudrais aussi redire combien il est important que nous continuions toutes et tous à défendre le principe de la liberté d’expression, le droit à l’outrance, à la caricature, à la satire. Nous le devons aux victimes de Charlie Hebdo. Nous le devons à toutes celles et ceux qui dans les pays totalitaires risquent leur vie pour cette liberté. »
En résumé Frédéric Fromet est absout et encouragé à poursuivre – et il sera payé pour ce faire. Quant à la phraseuse “médiatrice”, elle nous fait, en quelque sorte, un bras d’honneur et se dit, entre les lignes, toute disposée à nous en faire d’autres… Ces gens sont, décidément, des misérables.
Source : Médiateur Radio France, 15 janvier 2020.
Vous pensiez cette fange diabolique capable de s’excuser publiquement (même très hypocritement, cela va de soi) d’avoir ô combien injurié et blasphémé Dieu-Le-Fils, et, ce faisant, toute la Divine Trinité ?
Faut pas rêver !!
Autant demander à leur père, Satan, de s’agenouiller au Confessionnal !
(Padre Pio pourrait vous en toucher un mot…)
Qu’on se le dise et qu’on s’en souvienne : les injures d’une gravité indicible portées à l’encontre de Dieu sont infiniment plus graves que le tort porté à l’encontre de la communauté chrétienne !
Ci-dessous, le courriel que j’ai envoyé deux fois à la présidence de “radiofrance”, message refusé sous prétexte que “la boîte aux lettres du destinataire est pleine”…
Mesdames, Messieurs,
Les offenses au christianisme diffusées sur radio France Inter sont inacceptables.
Vu de Suisse, la haine du christianisme, si répandue dans votre pays, jusque dans ses médias publics, explique pour une bonne part, l’effondrement de la France…
Et vous ne discernez rien !
Pauvre France, feue fille aînée de l’Église !
Avec mes salutations distinguées et mes amers regrets.
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