D’un même mouvement, car ces souillures ont été commises en même temps le 8 septembre avec une même peinture violette des profanateurs on barré tous les noms figurant sur le monument aux morts de la commune et peinturluré des sexes masculins sur les murs encadrant la porte d’entrée de l’église Saint-Laurent de la commune.
Source : Dici, 10 septembre 2020.
Monsieur,
Je viens de constater en lisant le site du Dauphiné libéré que les coupables venaient d’être arrêtés. Il s’agit de préadolescentes de 11 et 12 ans que curieusement le journaliste qualifie de jeunes filles. Enfin, je vous donne donc l’article correspondant.
Article et lien :
“Vandalisme sur l’église et le monument aux morts des Vigneaux : trois adolescentes mises en cause
Trois jeunes filles de 11 et 12 ans ont reconnu les faits reprochés.
lles ont gribouillé le monument aux morts des Vigneaux et elles ont dessiné des sexes masculins sur l’église Saint-Laurent : trois jeunes filles de 11 et 12 ans ont reconnu les faits reprochés. Le 10 septembre, des plaintes ont été déposées à la gendarmerie par le maire des Vigneaux et par l’association des anciens combattants afin de retrouver les auteurs de ces incivilités. « L’enquête ouverte par le parquet de Gap et confiée à la brigade de gendarmerie de L’Argentière-la-Bessée a permis d’identifier les auteurs des dégradations commises sur l’église et le monument aux morts des Vigneaux. Les constatations menées sur les lieux par les enquêteurs ont démontré qu’il ne s’agissait pas de peinture mais de fleurs situées dans un bac à proximité, qui avaient été frottées sur le mur de l’église et sur le monument aux morts. Les faits ont été commis par trois jeunes mineures âgées de 11 ans et 12 ans. Elles se sont dénoncées à leurs parents puis à la gendarmerie. Elles ont reconnu avoir commis une bêtise et elles n‘ont pas mesuré la gravité de leur acte » indique le procureur de la République de Gap, Florent Crouhy.
Elles nettoient elles-mêmes leurs « bêtises »
Les trois adolescentes et leurs parents ont eux-mêmes décidé de procéder des inscriptions.
« En l’absence d’antécédents et au regard du très jeune âge des auteurs, le parquet de Gap privilégiera une réponse pénale éducative et pédagogique en lien avec la protection judiciaire de la jeunesse. Une mesure de réparation pénale apparaît la plus adaptée », conclut le procureur.”
“https://www.ledauphine.com/faits-divers-justice/2020/09/14/isere-faits-divers-grenoble-les-victimes-reconnaissent-leurs-agresseurs
Bonne réception. Cordialement.
CB