Plus de deux mois après l’incendie qui a ravagé la cathédrale Notre-Dame de Paris, l’enquête menée par les policiers de la Brigade criminelle (la Crim) n’a pas encore fourni toutes les réponses attendues, mais les découvertes des policiers, dont le Canard Enchaîné vient de se faire l’écho (n° 5146, 19 juin 2019), sont particulièrement intéressantes. Et consternantes. Si l’hypothèse d’un acte criminel ou terroriste semble désormais exclue, l’enchaînement des causes ayant abouti à cette catastrophe majeure, ne serait pas le fruit du hasard mais bien des erreurs et négligences de la Direction régionale des affaires culturelles d’Île-de-France (Drac) du ministère de la Culture, appuyées sur un sentiment général qu’il m’est difficile de qualifier autrement qu’antichrétien de cette Drac et de son ministère. C’est ce que laisse entendre le Canard Enchaîné même si le chapô de son article, évoquant « la guerre insensée entre le clergé [de la cathédrale] et le ministère de la Culture », est grotesque. Si guerre il y a, c’est celle menée par le ministère de la Culture contre les catholiques et tout spécialement contre le diocèse de Paris. Lisez et commentez…
Notre-Dame de Paris : des révélations sur l’incendie…

A la lecture de l’article il est clair que le chapô est mensonger puisqu’il s’agit d’une animosité à sens unique de la Drac envers le clergé de la cathédrale ; vieille réminiscence de l’anticléricalisme du Canard Enchaîné.
En outre je trouve que la Drac et son architecte odieux portent une lourde responsabilité dans la propagation de cet incendie.
Lamentable ! J’ai lu aussi dans un journal suisse que les ouvriers des échafaudages fumaient malgré l’interdiction et qu’un dispositif électrique temporaire installé en 2012 au bas de la flèche partie en fumée n’avait pas été désinstallé. Que le matériel employé par les pompiers de Paris n’étai pas adapté à l’ampleur de l’incendie, les tuyaux lançant des jets d’eau trop faibles (pas assez puissants et n’allant pas assez loin au coeur de l’incendie). Il a fallu de nombreuses heures pour venir à bout du sinistre, avec d’autres moyens les dégâts n’auraient pas revêtu une telle ampleur. Additionnez toutes ces négligences et voilà le résultat, malgré l’héroïsme extraordinaire des pompiers.
La cathédrale est avant tout un lieu de culte depuis le moyen age. Sa notoriété en fait également un lieu de culture en portant une forte connotation alchimique. Les incultes du Ministère de la culture se révèlent et devraient être accusés de négligence volontaires ayant entrainé la destruction d’un bien public. Que fait l’UNEXCO pour agir contre ces douteux personnages incultes à la solde du fric.
Contrairement à ce que l’on veut nous faire croire,il est impossible, de provoquer un tel brasier, même pas avec un chalumeau, et des cigarettes encore moins. Avec des poutres en chêne vieux de 500 ans, vu l’ampleur avec la quelle le brasier s’est déclaré sur toute la surface de la toiture en peu de temps, une température de 2200° est indispensable.seule des lutins ou des martiens sont peut être capable d’une tel prouesse,techniquement du vrai travail de pros de haut niveau, introuvable en France! Des test professionnels ont été réalisés et filmés avec toute la chimie inflammable sur du chêne de moins de 100 ans. Impossible fut français. Il existe une formule chimique a base d’aluminium que les chemineaux emploi pour souder des railles de chemin de fer ensemble qui développe plus de 2000° ou alors Satan avec le feu de l’enfer???? La vérité nous la saurons jamais mais le Gouvernement lui peut savoir!