Je dois à une lectrice (merci A. C.) le signalement d’un article paru dans le Midi Libre qui donne des détails absolument abjects sur la profanation de l’église Notre-Dame-des-Enfants que j’ai signalée le 7 février. C’est diabolique…
C’est une église de quartier, qui avait la particularité d’être ouverte toute la journée. Ce ne sera désormais sans doute plus le cas, après les dégradations constatées mardi 5 février en fin de journée. A l’église Notre-Dame-des-Enfants, quartier des Amoureux à Nîmes, c’est en venant fermer les portes en fin d’après-midi, que la personne en charge s’est aperçue des dégâts. D’abord, des morceaux d’hosties, répandus un peu partout, notamment sur l’autel. Puis, en avançant, elle découvre également une croix, tracée sur un mur à l’aide d’excréments [voir image ci-dessous], sur laquelle sont collés des bouts d’hosties. Il y a également un tag sur l’un des meubles. Les actes de vandalismes ne sautent pas forcément aux yeux puisque « aucun meuble n’a été cassé par exemple », précise l’évêché. La police a été contactée, une plainte déposée par la paroisse et une enquête est en cours.
Source : Midi Libre, 7 février 2019.
De la part du Vicaire général de Nîmes :
Communiqué
Aux catholiques du diocèse de Nîmes
La profanation de l’église Notre-Dame des Enfants à Nîmes affecte grandement notre communauté diocésaine. Le signe de la croix et le Saint-Sacrement ont fait l’objet d’actions gravement injurieuses. Ce geste de profanation nous heurte tous dans nos convictions les plus profondes.
Dans ces conditions, le culte ne peut plus être célébré dans cet édifice tant que la profanation n’aura pas été réparée par un rite pénitentiel dont la date n’est pas encore fixée.
D’ores et déjà, les carmélites, les cisterciennes et les clarisses du diocèse se sont mises d’accord pour observer une journée de jeûne et d’adoration, en réparation des actes de vandalisme. A leur manière, toutes les communautés catholiques sauront s’associer à cette prière, de la façon qui leur paraîtra opportune.
Le 8 février 2019
+ Robert WATTEBLED
Evêque de Nîmes
Qu’est-ce qu’un petit délinquant en face de Dieu, de Jésus Christ, fils de Dieu? même pas un ver-de-terre défiant un éléphant. Les sacrilèges peinent Dieu mais ne peuvent rien contre Lui. Par contre ce qui est inquiétant de la part de ces Français qui saccagent les églises, c’est l’état de barbarie où sont tombés les Français élevés sans éducation: l’homme ne descend pas du singe il y retourne; Au début du 20e siècle, les sans-religion recevaient à l’école, une éducation morale au respect de l’autre, à la fraternité. Ces leçons ont été supprimées après 1968 . On voit le résultat de cette idéologie du bon sauvage de Rousseau, et il est toujours interdit d’interdire: le téléphone portable a certainement plus de valeur qu’un crucifix aux yeux des athées. Au moins 2 ou 3 génération pour remonter la pente
CQFD
“• Vous qui aurez profané mon lieu saint et tout ce qui est dans son enceinte, vous vous verrez dépossédés de toute action. Vous allez vouloir fuir, car vous vous sentirez à découvert. Parce que vous aurez violé mon enceinte, vos membres ressentiront l’immobilité et vous saurez que c’est à cause de ce que vous aurez fait. Vous, les renégats, serez dépourvus de tout égard envers vous-mêmes, car vous n’aurez pas respecté tout ce qui est sacré et votre être entier sera dans la douleur, car vous ressentirez ce que, moi, j’ai ressenti lorsque vous commettiez ce sacrilège contre mon lieu d’amour.”
@ Gilberte, entièrement d’accord avec vous. En outre ces actes horribles ont peut-être été commis par des Français ou double nationaux qui ne devraient pas l’être. Il est urgent d’identifier les coupables et de les juger à la hauteur de leurs méfaits.i
Il faut vraiment être habité par Satan pour commettre ce genre de sacrilège !
“Père pardonnez-leur ils ne savent pas ce qu’ils font ! ”
Peut-être ne savent-ils pas qu’ils ont AUSSI une Âme ?
Devant tant de malheurs pleurons et en union avec les sacrifices et prières des religieuses demandons à Notre Seigneur de leur pardonner cet horrible geste.
Qu’ils se repentent et regrettent ce qu’ils ont osé faire.
Des actes sans doute commis par personnes intellectuellement et mentalement fragiles mais qui sont d’autant plus encouragées par une ambiance de plus en plus délétère et anti-catholique en France.
Des horreurs de ce type dans une église, ce n’est malheureusement pas nouveau, au cours des siècles et de l’histoire tumultueuse de Nîmes. Quand un pays est en crise, et en plus depuis des années, tout peut arrivé.
Ceux qui ont profané l’église avaient apporté les hosties, puisqu’il n’est pas signalé
d’effraction. Pour avoir des hosties, il faut donc avoir accès à une sacristie où sont gardées les hosties pour les Messes.
Et sur les hosties, il reste peut-être des empreintes digitales.
Honte à ces profanateurs, diaboliques ou fous !
Si toutes les églises pouvaient être gardées, il y aurait ainsi une prière continuelle.