J’avais traité de cette affaire mardi dernier. Que les tagueurs appartiennent à l’extrême gauche n’est pas pour me surprendre, mais l’articulet que le Midi Libre a consacré hier à leur interpellation, signale qu’ils ne s’étaient pas contentés du portail de l’école pour exposer leur haine antichrétienne : des murs de la ville de Sète ont aussi été souillés…
Depuis tôt ce matin [22 février] des membres d’un groupuscule d’extrême gauche de Montpellier sont en garde à vue au commissariat de Sète. Les enquêteurs les soupçonnent d’être les auteurs des tags antichrétiens peints sur le portail de l’école catholique Saint-Vincent et sur plusieurs autres murs de la ville.
Source : Midi Libre, 22 février 2019 (merci C. B. de ce signalement)