La date de cette “décapitation” n’est pas précisée. Elle remonterait à quelques jours avant le 22 novembre, jour où la gendarmerie s’est rendue sur place pour procéder aux constats d’usage.
Il est 16 h 40 ce jeudi 22 novembre, quand deux gendarmes descendent de leur véhicule. Ils se dirigent vers une toute petite parcelle, à l’intersection du faubourg Saint-Jacques et de la rue du clos Saint-Jacques. Intersection que semblait observer jusqu’alors une statue de la Vierge-Marie. Ce qu’elle ne peut plus, désormais. Depuis quelques jours, suite à un acte de vandalisme isolé, la statue d’une Vierge à l’Enfant est en effet privée de sa tête. Qui demeure introuvable. Le reste de la sculpture, et notamment l’Enfant Jésus que porte la sainte, a été épargné. Mais l’absence du visage féminin a été aussitôt remarquée par les nombreux passants de cette artère […] Une enquête a d’ores et déjà été ouverte et confiée à la brigade territoriale autonome de Joigny, afin d’identifier le ou les auteurs […]
Source : L’Yonne Républicaine, 24 novembre
la décapitation fait partie des mœurs dans certains pays
Oui, sans doute un fou d’Allah est passé par là et a laissé sa sinistre empreinte.