Ce sont des plaques du columbarium du cimetière municipal, qui ont été détruites à coups de parpaings et de pierres. Ces actes odieux ont sans doute été commis entre vendredi 10 juillet après-midi et samedi matin 11 juillet. Aucun tag ni inscription. La police scientifique s’est rendue sur les lieux samedi après-midi. La mairie n’a pas déposé plainte car si le cimetière lui appartient, les niches où se trouvent les cendres des défunts, sont des concessions privées. Il revient donc aux familles de porter plainte, ce que certaines ont déjà fait et ce à quoi la mairie les encourage.
Source : Le Parisien, 14 juillet 2020.