Les faits ont été constatés hier, jeudi 2 mai, avec d’autres méfaits comme le tracés de croix gammés sur des tombes. La version du quotidien Le Dauphiné et celle donnée par Robert Gay, maire de Mison, dans l’entretien téléphonique qu’il a accordé au journal, sont contradictoires. Le Dauphiné indique, après l’intertitre « Le cimetière déjà touché par des dégradations récentes » que « le cimetière de Mison a déjà été touché par des dégradations récentes : […] une croix cassée sur un caveau, ainsi qu’un crucifix emporté », alors que le maire précise bien que ces faits particuliers se sont passés le 2 mai, avant de rappeler que « la semaine dernière, par ailleurs, il y avait des vols sur deux tombes de deux familles misonnaises ». C’est donc la version du maire que je retiens pour ces faits.
Source : Le Dauphiné, 2 mai 2019 (merci C. B. pour ce signalement)
Les pilleurs de troncs peuvent être conduits à mal agir par la nécessité, mais vandaliser des tombes dans un cimetière relève de la méchanceté et de la haine antichrétiennes gratuites ! Il faudrait que l’accès aux cimetières soit limité dans le temps et surveillé en permanence avec des caméras pour filmer d’éventuels prédateurs, surtout après une première attaque, mais souvent ce sont les moyens ou la motivation qui manquent.