En ce 14 août, ayons une pensée et une prière pour les 800 martyrs d’Otrante ! Voici des extraits d’un article qui traite de cet événement.
Le 6 juillet 2007, Benoît XVI a reçu le préfet de la congrégation pour la cause des saints, le cardinal José Saraiva Martins. Il a autorisé la publication du décret d’authentification du martyre du bienheureux Antonio Primaldo et de ses compagnons laïcs, « tués en haine de la foi » le 14 août 1480 à Otrante.
Seul le nom d’Antonio Primaldo est resté. Ses compagnons de martyre sont 800 inconnus : pêcheurs, artisans, bergers et agriculteurs d’une petite ville. Il y a cinq siècles, leur sang a été versé uniquement parce qu’ils étaient chrétiens.
Ces 800 hommes ont subi il y a cinq siècles le sort réservé à l’Américain Nick Berg en 2004. Capturé par des terroristes islamistes en Irak alors qu’il exerçait son activité d’antenniste, il a été tué au cri de « Allah est grand ! » Son bourreau, après lui avoir tranché la veine jugulaire, a passé la lame autour du cou jusqu’à ce que la tête se détache et il l’a montrée comme un trophée. Exactement ce que le bourreau ottoman avait fait à chacun des 800 habitants d’Otrante en 1480.Le prologue à cette exécution de masse a lieu le 29 juillet 1480, aux premières heures du jour : depuis les murs d’Otrante, on voit pointer à l’horizon une flotte composée de 90 galées, 15 mahonnes et 48 galiotes, avec à leur bord 18 000 soldats, qui devient de plus en plus visible. L’armée est dirigée par le pacha Agometh, lui-même sous les ordres de Mehmet II, dit Fatih, le Conquérant. En 1451, ce sultan, alors âgé de 21 ans à peine, avait pris la tête de la tribu ottomane, qui s’était imposée sur l’échiquier des émirats islamiques un siècle et demi auparavant.
En 1453, à la tête d’une armée de 260 000 Turcs, Mehmet II avait conquis Byzance, la “seconde Rome”. Dès lors, il projetait de s’emparer de la “première Rome”, la vraie Rome, et de transformer la basilique Saint-Pierre en écurie pour ses chevaux.
En juin 1480, il juge le moment opportun pour accomplir son œuvre: il lève le siège de Rhodes – que ses chevaliers défendaient avec courage – et dirige sa flotte vers la mer Adriatique. Il a l’intention de s’emparer de Brindisi, dont le port est vaste et commode. De Brindisi, il envisage de remonter l’Italie jusqu’au siège de la papauté. Un fort vent contraire contraint cependant les navires à toucher terre à 50 milles plus au sud. Le débarquement a lieu à Roca, à quelques kilomètres d’Otrante […]Au moment du débarquement des Ottomans, la ville ne peut compter que sur une garnison de 400 hommes armés, dont les chefs s’empressent de demander de l’aide au roi de Naples, Ferrante d’Aragon, en lui envoyant un courrier.
Après avoir cerné le château, où tous les habitants du bourg s’étaient réfugiés, le pacha Agometh envoie un messager pour proposer une reddition à des conditions avantageuses. S’ils n’opposent aucune résistance, hommes et femmes resteront libres et ne subiront aucun tort. C’est un des notables de la ville, Ladislao De Marco, qui répond: si les assiégeants veulent Otrante – prévient-il – ils devront la prendre par les armes.
L’envoyé est sommé de ne plus revenir. Lorsqu’un second messager se présente avec la même offre de reddition, il reçoit une volée de flèches. Pour supprimer toute équivoque, les capitaines se saisissent des clés de la ville et les jettent ostensiblement à la mer du haut d’une tour, en présence de la population. Pendant la nuit, une bonne partie des soldats de la garnison franchissent les murs de la ville au moyen de cordes et s’enfuient. Les habitants seuls restent pour défendre Otrante.S’en suit un siège éprouvant: les bombardes turques lancent des centaines de boulets de pierre sur la ville (beaucoup d’entre eux sont encore visibles aujourd’hui dans les rues du centre historique). Quinze jours plus tard, à l’aube du 12 août, les Ottomans concentrent leurs tirs sur un des points les plus fragiles des murailles. Ils ouvrent une brèche, envahissent les rues, massacrant tout ce qui est à la portée de leurs tirs. Ils gagnent la cathédrale où de nombreux habitants se sont réfugiés. Après avoir renversé les portes et pénétré dans l’édifice, les Ottomans trouvent l’archevêque Stefano vêtu de ses habits pontificaux, le crucifix à la main. À l’injonction des assaillants de ne plus prononcer le nom du Christ – puisque c’est Mahomet qui commande désormais – l’archevêque leur répond en les exhortant à la conversion. Il est alors décapité d’un coup de cimeterre.
Le 13 août, Agometh demande et obtient la liste des habitants capturés, à l’exception des femmes et des enfants âgés de moins de 15 ans.Voici ce que Saverio de Marco raconte dans sa Compendiosa istoria degli ottocento martiri otrantini publiée en 1905 :
« Environ huit cent hommes furent présentés devant le pacha. À ses côtés se tenait un prêtre calabrais nommé Jean. Ce misérable apostat fit usage de son éloquence satanique pour persuader les chrétiens d’abandonner le Christ pour se convertir à l’islam. S’assurant ainsi de la bonne grâce d’Algometh, ils auraient la vie sauve et conserveraient tous les biens dont ils disposaient chez eux. Dans le cas contraire, tous seraient massacrés. Parmi ces héros, Antonio Primaldo, un tailleur déjà vieux mais plein de piété et de ferveur. Au nom de tous les autres, il répondit : “Vous tous, croyez en Jésus Christ, fils de Dieu et soyez prêts à mourir mille fois pour lui” ».
Dans son Historia della guerra di Otranto del 1480, transcrite sur un vieux manuscrit et publiée en 1924, le premier chroniqueur, Giovanni Michele Laggetto, ajoute :
« En se tournant vers les chrétiens, Primaldo leur adressa ces mots: “Mes frères, nous avons combattu jusqu’à aujourd’hui pour notre patrie, notre vie et nos maîtres terrestres. Le temps est venu désormais de conserver nos âmes pour notre Seigneur. Puisqu’il est mort sur la croix pour nous, il convient que nous aussi mourrions pour lui, fermes et constants dans la foi. Par cette mort terrestre, nous aurons la vie éternelle et la gloire du martyre”. À ces mots, ils crièrent d’une seule voix et avec ferveur qu’ils préféraient mille fois mourir de n’importe quelle mort plutôt que de renier le Christ ».Agometh ordonne la condamnation à mort des huit cents prisonniers. Le matin suivant, ils sont conduits, la corde au cou et les mains liées derrière le dos, à la colline de la Minerve, à quelques centaines de mètres de la ville. De Marco poursuit :
« Tous répétèrent la profession de foi et la réponse généreuse donnée précédemment. Alors le tyran ordonna la décapitation, en commençant par le vieux Primaldo, qu’il détestait. Ce dernier en effet continuait à encourager les siens. Plus encore, avant de poser sa tête sur la pierre, il expliquait à ses compagnons qu’il voyait le ciel ouvert et les anges consolateurs. Il leur demanda d’être forts dans la foi et de regarder le ciel déjà ouvert pour les recevoir. Il inclina son front et on lui coupa la tête. Mais son corps se remit debout et en dépit des efforts des bourreaux, il resta ainsi dressé immobile, jusqu’à ce que tous les autres fussent décapités. Ce prodige éclatant et retentissant aurait pu être une leçon de salut pour ces infidèles, s’ils n’avaient pas été rebelles à cette lumière qui éclaire chaque homme qui vit dans ce monde. Un seul bourreau, nommé Berlabei, crut à ce miracle avec courage. Se déclarant chrétien à haute voix, il fut condamné au supplice du pal ».
Lors du procès pour la béatification des huit cents, en 1539, quatre témoins oculaires ont rapporté le prodige d’Antonio Primaldo, resté debout après avoir été décapité ainsi que la conversion et le martyre du bourreau. L’un d’entre eux, Francesco Cerra, âgé de 72 ans en 1539, raconte :
« Antonio Primaldo fut le premier à être mis à mort. Décapité, il resta fermement debout et tous les efforts de ses ennemis ne parvinrent pas à le faire tomber, jusqu’à ce que tous les autres eussent été tués. Le bourreau, sidéré par le miracle, proclama que la foi catholique était la vraie. Il insista pour devenir chrétien et pour cette raison fut condamné à la mort par le pal, sur ordre du pacha » […]Ce qui donne tout son sens à cet événement extraordinaire, notamment pour l’homme européen d’aujourd’hui, c’est que les témoignages de foi et de valeurs civiles sont légion dans l’histoire du christianisme. Les groupes d’hommes qui ont affronté avec courage des épreuves extrêmes sont tout aussi nombreux. Pourtant, jamais un événement n’a impliqué autant de personnes: une ville entière combat d’abord comme elle peut, puis résiste à plusieurs jours de siège. Ensuite, elle rejette fermement la proposition d’abjurer sa foi. Sur la colline de la Minerve, hormis le vieil Antonio Primaldo, aucune individualité ne se distingue, puisque l’on ne connaît le nom d’aucun des 800 autres martyrs. Cela prouve qu’il ne s’agit pas d’un petit nombre de héros, mais bien d’une population toute entière qui affronte cette l’épreuve […]
Aujourd’hui, l’Europe est attaquée, non pas – comme c’était le cas à Otrante – par une armée islamique organisée par des institutions, mais par plusieurs organisations non gouvernementales regroupant des fondamentalistes islamistes. En tenant compte de cette différence structurelle, il n’est pas déplacé de s’interroger de ce qu’il reste aujourd’hui en Occident, en Europe, en Italie, de ce “naturel“ qui a amené une communauté toute entière à “défendre la paix de sa terre” jusqu’au dernier sacrifice.
La question n’est pas hors de propos si l’on pense que dans la lutte contre le terrorisme, la solidité du corps social – ou au moins de sa majeure partie – est réellement décisive dans la lutte contre le terrorisme, face à la menace et aux manières les plus barbares de la concrétiser. Le souvenir d’Otrante sert à souligner qu’il existe des moments où la résistance est un devoir, mais il permet avant tout de se rappeler qui nous sommes et de quelles communautés nous descendons […]Otrante nous montre qu’une civilisation culturellement homogène – ou même principalement animée par des principes de réalité – est capable de réagir de manière très unie pour défendre sa propre paix. Elle le fait sans piétiner sa propre identité et sa propre dignité […]
Il est frappant que le drame d’Otrante n’ait pas eu – et n’ait toujours pas – la large reconnaissance qu’il mérite. L’Église elle-même a attendu cinq siècles et un pape extraordinaire comme Karol Wojtyla pour béatifier les 800. Le décret du 6 juillet par lequel Benoît XVI autorise à considérer leur “martyre” comme étant historiquement et théologiquement arrivé.
C’est la condition nécessaire pour leur canonisation qui aura lieu quand le miracle aura été vérifié. L’Église, y compris à Otrante, garde une prudente réserve à ce sujet, mais tout le monde sait que l’intercession des 800 a déjà donné lieu à de très nombreux miracles; il ne manque plus que la reconnaissance officielle […]
Le pape François a proclamé la canonisation des 800 martyrs d’Otrante, le 12 mai 2013.
Source : Chiesa, 14 août 2007
Pauvre Italie, cette dernière a toujours été victimes d’invasion car insoumise.
Souvenons des barbares, des Arabo-musulmans du Maghreb, des Turcs, puis des Maçons du Risorgimento, des Y*nk**s et enfin des envahisseurs aujourd’hui.
je ne serais pas contre;béatifiés où non,cependant,dans la foulée,pourquoi ne pas parler des 1400 français tués sauvagement le 5 juillet 1962 à Oran,alors que l’indépendance avait déjà été accordé aux algériens et dont même tous les corps n’ont pas été retrouvés,tout comme pour les moines de Tibbhirine,pour lesquels des recherches ont été faites;parce que civil,ils avaient moins de valeur et donc inutile d’en parler;je suis déjà âgée et je me demande qui aura le courage de parler de cela avant que je quitte cette terre?
Excellent article .
La canonisation de la population d’Otrante nous interpelle directement .
Ben pour la 2ème fois mon message a disparu (il n’apparait même pas seulement visible par moi et le “modérateur”, avec la mention habituelle ” Your comment is awaiting moderation”, et je note que c’est lorsque mon nom et mon courriel ne s’affichent pas automatiquement (par les cookies que j’ai acceptés) dans les cases ad hoc que cela arrive.
Je recopie à nouveau, puisque j’avais enregistré mon commentaire.
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“L’église elle-même a attendu cinq siècles…”
Protestante, je ne prie
– ni pour les défunts, car le salut tout entier ne repose que sur la foi en la mort rédemptrice du Christ : “Car c’est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. et cela ne vient pas de vous, c’est le don de Dieu.” Éphésiens 2,8 et la parabole que raconta Jésus du riche et du pauvre Lazare nous le confirme bien dans Luc 16,19-31.
– ni pour demander leur intercession, car seul Christ est médiateur : “Il n’y a de salut en aucun autre ; car il n’y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés.” Actes 4,12
mais je ne doute pas un instant que tous ces martyrs, hommes et femmes, qui ont accepté volontairement un tel sacrifice ne soient déjà depuis leur mort parmi ceux à qui la robe blanche et la couronne ont été promises. “Une robe blanche fut donnée à chacun d’eux” Apocalypse 6,11 “après avoir été éprouvé, il recevra la couronne de vie, que le Seigneur a promise à ceux qui l’aiment.” Jacques 1,12
Et c’est une excellente chose de rappeler ces faits à notre mémoire… ou de nous les faire connaitre quand nous les ignorions. Merci @M. Hamiche.
Ces hommes et ces femmes, villageois modestes jusqu’à l’anonymat – mais Dieu les connait un à un par leur nom, sont des modèles à imiter. Qui sait ce que l’avenir nous réserve ou réserve à nos enfants et petits-enfants ?
Soyons confiants que notre Seigneur ne nous abandonnera jamais, quelles que soient les circonstances. Il a dit ” Je bâtirai mon Église et les portes du séjour des morts ne prévaudront point contre elle. ” (Matthieu 16,18). Or “ces paroles sont certaines et véritables.” Apocalypse 22,6
Ayons seulement la foi, une indéfectible confiance en Son amour.
PS Otrante, pour ceux qui l’ignorent comme c’était mon cas, est une petite ville côtière de l’extrême sud-est du talon de la “botte” italienne, face à l’Albanie, qui est à 50 km en face.
Prier pour les morts est un acte d’amour.
Pour le cas qui nous occupe c’est aussi prier pour tous les gens qui on dû tellement souffrir avec ces 800 personnes et plus assassinées.
Prier pour évangiler une âme et la sauver, prier pour un petit enfant malade le Bon Dieu fait des miracles, la vie et la mort sont liées, les âmes de nos êtres chers sont toujours vivantes près de nous. Prier pour eux c’est aussi parler à Dieu.
“Le pape François a proclamé la canonisation des 800 martyrs d’Otrante, le 12 mai 2013″… sans avoir désigné les auteurs du massacre, à savoir les Ottomans. Pour combattre l’ennemi, il faut le nommer et le pape n’a pas su, lui non plus, le désigner dans son homélie.
Vous êtes comme François 1er …. “les Ottomans” ? … dire les TURCS MUSULMANS, c’est plus clair pour tous.
“Ottoman” est le terme historique officiel pour désigner la dynastie turque musulmane qui régna pendant plusieurs siècles. Le mot est formé à partir du nom d’Otsman / Otman Ier, son fondateur.
Quel bel exemple émouvant de foi, paix sur leur âme! Ça me fait penser à Etienne, l’un des premiers martyre chrétien, qui fût lapidé et qui vit le ciel s’ouvrir à ces derniers instants sur terre. Quel média européen parlera de ces martyres? Ah oui, si on parle de martyres, on doit aussi parler des bourreaux, ce que l’Europe se refusera à faire car elle vit avec une peur d’être accusée de xénophobie. Ce sont ces mêmes ottomans qui ont commis le génocide contre les Arméniens, Syriaques et autres minorité en 1915. En principe, l’histoire doit servir de leçon mais il n’en est pas ainsi dans notre continent. Ce que l’islam attendait depuis 1400 ans est entrain de se produire, à savoir une invasion à grande échelle.
Tout cela doit être un terrible avertissement pour nous tous.Le début est fait en France.
Cette peste est à éliminer et renvoyer hors de nos frontières sans possibilité de retour.
S’est bien beaux 800 martyrs, heureusement béatifiés,voulez vous des millions pour un proche avenir,les bouchers humains le sont capable.
Si les français devaient se retrouver dans la position des martyrs d’Otrante, il faudrait d’abord qu’il se convertissent et choisissent Jésus-Christ comme leur Dieu et Sauveur, en se repentant de l’apostasie générale acceptée et mise en place. Regardez donc ce qui se passe…..ils ont d’autres “chats à fouetter” , beaucoup observent et se révoltent devant la menace mais n’ont pas l’intention de recourir à Dieu.Il est à craindre que (presque) tous préfèreraient, dans l’actuel état des choses,se convertir à l’islam plutôt que de passer au fil de l’épée.
Je me demande si le modérateur acceptera de publier mon opinion……
@Thècle
Et pourquoi vous le demandez-vous ? L’affaire d’Otrante nous montre que les édiles ont fui et qu’un prêtre a apostasié et invité les futurs martyrs à faire de même…
@Thècle et @M. Hamiche
La pertinence du commentaire de Thècle n’en demeure ps moins vraie.
@M. Hamiche vous soulignez que dans cette abominable affaire d’Otrante les élites (civiles, religieuse) ont fui ou apostasié et que le petit peuple fidèle, lui, a accepté le martyre.
Mais ce qu’a écrit @Thècle est juste : de nos jours, qui, dans le gros de la population française accepterait un tel sacrifice ? Même, MÊME… au sein de nos églises, qui serait prêt à cela ?
Pour avoir une telle attitude de renoncement à la vie terrestre, il faut que la foi dans la promesse de Jésus-Christ d’une vie éternelle auprès de Lui soit au moins aussi forte que l’envie de continuer à vivre sur cette terre. Est-ce vraiment le cas aujourd’hui de la masse de la population française ?
Voilà la bonne remarque faite par @Thècle.
Matthieu 7,13-14 ” Entrez par la porte étroite. Car large est la porte, spacieux est le chemin qui mènent à la perdition, et il y en a beaucoup qui entrent par là. Mais étroite est la porte, resserré le chemin qui mènent à la vie, et il y en a peu qui les trouvent. ”
Ceux d’Otrante ont su trouver et prendre ce chemin étroit et escarpé.
Voilà pourquoi j’ai écrit plus haut qu’ils sont nos modèles. (Charlotte Parc 13 août 2016 à 14 h 13 min)
Merci Daniel pour votre réponse. J’avais craint d’avoir dépassé “les bornes”
Cher administrateur,
Eloigné de la barre de mon trimaran CRIL17 depuis de nombreux jours, peut-être est-il encore temps de revenir sur cette question posée à propos d’une très curieuse coïncidence ?
Benoît XVI a-t-il été terrassé par la grâce divine, sous l’effet de la canonisation des 800 martyrs d’Otrante ?
http://cril17.info/2013/02/12/benoit-xvi-a-t-il-ete-terrasse-par-la-grace-divine-sous-leffet-de-la-canonisation-des-800-martyrs-dotrante/
D’où l’autre question subséquente posée depuis peu :
Pour le salut de notre civilisation, un deuxième Pape émérite ! Vite ! [ MAJ 21 h 15 ]
http://cril17.info/2016/08/01/pour-le-salut-de-notre-civilisation-un-deuxieme-pape-emerite-vite/
Et le dernier cri à la mode des cathos-réacs : » Vive l’imperméable » …
http://cril17.fr/