Barack Obama aime prendre la pose de “défenseur N° 1 des droits de l’homme dans le monde”. Mais quand il s’agit de défendre concrètement la liberté de culte et de religion devant le chef d’un État qui n’a aucun respect ni pour l’une ni pour l’autre, cette pose se dégonfle comme une baudruche. Malgré la demande instante, mardi dernier, de 70 membres du Congrès des États-Unis que le Président aborde « le problème majeur de la liberté religieuse » dans un pays où des millions de chrétiens n’ont aucun lieu de culte et ne peuvent pas même se réunir dans un domicile privé pour prier, Obama est demeuré hier bouche cousue devant le roi Abdallah… « Obama n’a pas eu le temps d’exprimer ses préoccupations sur la question des droits de l’homme dans le royaume », a déclaré laconiquement son porte-parole à l’agence Reuters…
Sources : International Christian Concern, Reuters
Le porte parole du président Obama a produit une parfaite déclaration dans la meilleures des langues de bois .
L’allégation du “manque de temps” relève même plus de la langue de bois , mais du véritable foutage de gueule !
L’administration américaine et les présidents successifs, comme beaucoup d’autres chefs d’états, sont essentiellement des entités cyniques , pour qui les grands principes sont subordonnés aux intérêts profonds de leur état , des strictes nécessites géostratégiques , ou plutôt des intérêts financiers des puissants groupes de pression, qui en fait dirigent la véritable politique et surtout la politique américaine !
Obama n’a pas évoqué la vie difficile des chrétiens qui ne tout manière voient leurs jours comptés en Orient , car si ils sont désormais condamnés en Irak, Palestine, Syrie et Egypte , on ne voit vraiment pas pourquoi, le régime saoudien se mettrait en tête de faire preuve d’une mansuétude irréaliste , et de les épargner .
Non vraiment soyons sérieux et demeurons les pieds sur terre. Obama, n’a pas évoqué le problème chrétien pour ne pas vexer dangereusement le roi autocrate et tyran Abdallah, et donc compromettre les intérêts économiques et géostratégiques impérieux, des USA aux moyens orient, ou l’Arabie Saoudite constitue une pièce maîtresse au pouvoir fort redoutable !
Évoquer le martyr injuste des chrétiens , aurait eu pour résultat probable, et prévu par Obama, de plonger le terrible monarche jaloux et intolérant, dans la plus redoutable des fureurs , au risque de compromettre la poursuite de cette visite officielle aux enjeux forcément très sensibles.
Croyons donc bien que le jour ou le fameux roi Abadallah , aura décidé de faire décapiter en place publique , la totalité des chrétiens du royaume, prenant prétexte de la disparition de l’ensemble de ces communautés dans tout l’Orient, jamais Obama n’élèvera la voix, et n’émettra un faire part de condoléances en direction du Vatican!
Sont excuse ne tient pas la route…Maître de l’armée la plus puissante du monde ,il ne peut gagner quelques minutes sur un entretien avec un ((vassal )) de son empire.
Mais, il est musulman Obama, alors qu’est ce qui vous étonne… et puis il em[…] déjà les Chrétiens chez lui, pourquoi il les protègerait ailleurs ?
Obama est musulman par son père Kenyan, veuillez noter qu’au Kenya, seul 10% de la population est musulmane et sur la côte sud, à Mombasa (j’y ai vécu dix ans), je dirais en voie d’islamisation !
Obama ca veut dire petite c[…] ou encore lâche…
Les chrétiens travaillant en Arabie Saoudite sont en majeure partie venant de l’Inde, des Philippines, de l’Erythrée, donc du Tiers Monde, les chrétiens les plus pauvres, sans défense, surveillés, emprisonnés et battus si on leur découvre un signe de foi chrétienne. Dans “la voix du nord ” de vendredi on voit la photo du Pape François avec Obama souriant et cette légende: “une entrevue historique centrée sur leur crédo commun, la lutte contre les inégalités”. Et les lecteurs classent Obama dans les défenseurs des travailleurs chrétiens d’Arabie à moins que la religion ne soit pour lui qu’un détail, un lest à lacher
Es un hipocrita,es anticristiano.Es amigo del totalitarismo islamico,demente,parido por el demonio.