Une profanation d’une insigne gravité a été commise dans la crypte de la cathédrale Saint-Pierre-et-Sainte-Cécile de Mar del Plata (province de Buenos Aires sur la côte Atlantique). Elle fut commise le dimanche 27 octobren mais ne fut constatée que mardi 29 par le service d’entretien de la cathédrale. Des inconnus avaient déféqué sur l’autel et s’étaient servis de sa nappe pour se torcher. Le manteau recouvrant l’effigie de la Virgen de los Desamparados (Notre-Dame des désemparés) a été arraché comme on été arrachés de leurs reliquaires des reliques de saints, très nombreuses dans la crypte. Les profanateurs ont aussi tenté, sans succès, de forcer le tabernacle de la crypte – lequel ne possède pas de réserve eucharisique. Mgr Antonio Marino, évêque de Mar del Plata, a dénoncé ce « grave sacrilège » ces « faits réellement criminels, attentatoires à l’honneur de Dieu et à la dignité de l’homme. Les catholiques prient pour les auteurs de si graves péchés ». Il a demandé qu’une Messe de réparation soit célébrée en réparation publique de la profanation. Le pape François, lui-même argentin, a confié au vicaire général du diocèse en visite à Rome qu’il considérait cet acte comme « un soufflet sur le visage de Jésus » et a demandé qu’on « pardonne à ceux qui ont commis cela ».
Source : Religion en Libertad
Les pauvres malades et possédés qui ont fait cette abomination le font parce-qu’il n’y aucune sanction, ni temporelle, ni spirituelle. Il y a 1000 ans, ou 500 ans, je pense qu’ils auraient été condamnés à mort tant l’insulte à Jésus-Christ est terrible. Notre pauvre monde est abêti et ramolli à l’extrême. Qu’ils aillent déféquer dans une mosquée ou une synagogue et on verrait les clameurs des gosiers de sépulcre. Je pense qu’ils ne mettraient pas un pied dans une mosquée, ni dans une synagogue. Ou ils n’en sortiraient pas vivants. C’est nous, catholiques, qui ne défendons pas Jésus-Christ, réellement présent dans les églises parce-que nous sommes des loques au temporel et au spirituel. Nos pères n’auraient jamais permis une pareille profanation. Tout est confondu dans un romantisme lamentable.
Rachel, vous avez raison ! – C’est ignoble!
Leur pardonner est une chose, mais empêcher que cela se reproduise en est une autre.. Qu’ils retournent dans leurs pays…….on se bat là bas frère contre frères et leur haine s’importe chez nous !!!
Bah si même le Pape pardonne; allons-y gaiement ! Je reçois un soufflet sur une joue et je présente l’autre etc etc Le message christique est ici du sado-masochisme et bien mal compris. Il y a comme un péché d’orgueil à se prendre pour le Fils de l’Homme. Aimez-vous les uns les autres ne veut pas dire faites n’importe quoi et vos erreurs, vos péchés, vos crimes vous seront remis. Nous baignons dans un romantisme lamentable comme dit supra. Un sentimentalisme béat déconstructeur. Dans le christianisme, principalement en confession catholique romaine, on ne souligne pas assez l’épisode d’un Jésus qui savait se fâcher comme avec les marchands du Temple, comme face aux Pharisiens. Pour le reste en votre âme et conscience.
Le Pape demande que l’ on pardonne ok, comme çela il pouront recommencer à l’aise,ne vaudrait-il pas mieux, prier, Sainte Marie Mère de Dieu et notre tendre Mère avec saint Michel Archange et demander qu’ils soient bloqués dans leurs méfaits, prier pour qu’il soient empechés de nuire.
pardonner ne veut pas dire ne pas sanctionner, mais ne pas le faire avec haine, JP2 a pardonné à son agresseur l’a-t-il remis en liberté. Quand a la citation de NS Jesus Christ, elle consite, en tendant la joue gauche à obliger l’autre à nous reconnaître comme Humain, e nous frappant du plat et non du dos de la main comme une mouche que l’on veut ecarter de soi.
C’est tout à fait de cette manière que je comprends les paroles de l’Évangile. Dans le cas contraire, ce n’est effectivement que du sado-masochisme. Pour Jean-Paul II, son agresseur Mehmet Ali Ağca -quasi assassin et de toutes façons un assassin récidiviste- il a été pardonné par lui mais pour ce qui est de le remettre en liberté, je doute que même si ce Pape l’eut voulu, il eut pu car le Tribunal était, que je sache, de droit italien et donc indépendant du Vatican ?
j’ai oublié de vous dire que je suis Argentin, de Salta, et formé par les jesuites.
“Un sentimentalisme béat déconstructeur.” Oui, exactement. Un fade sentimentalisme qui ne fait pas grandir, qui ne peut pas non plus sauver les pécheurs puisqu’on leur dit sans arrêt que tout va bien quoi qu’ils fassent….Pour recevoir le Pardon de Jésus, il faut regretter profondément ses fautes et aller les confesser à un prêtre et tout péché mortel demande aussi une réparation spirituelle et temporelle. Tout cela n’est plus jamais dit.