Le Gran Teatre del Liceu de Barcelone s’enfonce dans le “religieusement correct” et, de fait, dans la dhimmitude, nous apprenait hier une dépêche de l’agence Médias-Presse Info. La scène la plus ancienne – le théâtre fut inauguré en 1846 – et la plus prestigieuse de Barcelone est un théâtre d’opéra. Il a programmé, du 13 au 20 septembre prochains, des représentations de l’opéra de Gioachino Rossini Le Voyage à Reims ou l’hôtel du Lys doré, une œuvre composée à l’occasion du couronnement à Reims du roi Charles X, et dont la première représentation fut donnée à Paris au Théâtre des Italiens le 19 juin 1825. Dans cette œuvre, le personnage de Corinne, interprété par une soprano, chante la phrase : « Comme sur le Tibre et à Solima, héraut de la victoire, symbole de paix et de gloire, la Croix resplendira » qui est devenue, au nom du “religieusement correct” et de la christianophobie ordinaire : « Comme sur le Tibre et à Solima, héraut de la victoire, symbole de paix et de gloire, l’Amour resplendira » ! Che vergogna ! aurait dit Rossini…
Source : MPI, 30 août
C’est désormais clair, les chiens de garde des pouvoirs hâtées ont pour mission de chasser le Christ de l’espace public… dans un premier temps.
si Barcelone est faible et craint de nommer la Croix, les attentats comme celui du mois d’août peuvent recommencer, l’ennemi se sent fort de la faiblesse des autres
Quand les nuls se permettent de réécrire les oeuvres des autres, faute de pouvoir créer eux-mêmes, ou aussi bien!
Complément : il faudrait que ce soit signalé aux amateurs d’art, catholiques, pour un boycott de ce genres d’événements…