Dans l’église Saint-Pierre de Huy, le desservant a même constaté la présence d’excréments sur l’autel ! Ce n’est plus du vandalisme, c’est de la profanation. Ce n’est pas la première fois que cette église Saint-Pierre de Huy est vandalisée (voir ici et là).
Vols, dégradations et trafic de drogues ne s’arrêtent pas au parvis des églises. Les prêtres de Hannut et Huy l’ont déjà constaté, certains continuent pourtant d’ouvrir chaque jour leur église au public, même s’ils deviennent rares, ils expliquent les dispositions prises et les raisons qui les poussent à ne pas fermer ces lieux sacrés. Les églises ouvertes en permanence au public se font de plus en plus rares, à l’inverse des actes de vandalisme qui y sont perpétrés. Vols d’objets religieux, troncs fracturés, trafic de drogue dans les confessionnaux et excréments sur l’autel : autant de (mé)faits découverts récemment dans les églises. À Hannut et Huy, deux prêtres ne ferment pas les portes des lieux de culte dont ils s’occupent, malgré les actes de vandalisme. « J’estime que les églises doivent être ouvertes, car elles restent des lieux publics de pacification et de recueillement. C’est vrai que les dégradations sont nombreuses et que le respect du sacré a diminué. On ne compte plus les vols, troncs forcés ou autres déchets laissés », explique Michel Teheux, abbé au sein de l’église Saint-Pierre de Huy, qui ouvre quotidiennement le lieu de culte un peu avant 9 heures, pour le fermer vers 17 heures. Car, contrairement à la Collégiale de Huy qui attire de nombreux touristes à travers le monde, l’église Saint-Pierre accueille surtout des curieux et des habitués en ses murs.
Source : La Meuse (22 décembre)
Débile et satanique !