Bethléem, ville de la naissance du Sauveur, relève de l’Autorité nationale palestinienne. En 1950, cette ville et les villages qui l’environnent étaient peuplés d’habitants à 86 % chrétiens : ils ne comptent plus que pour 12 % de la population. La ville elle-même n’enregistre que 11 000 chrétiens sur une population estimée à 30 000. Pour l’ensemble de la Cisjordanie (que les Israéliens nomment la Judée-Samarie), les chrétiens représentent aujourd’hui moins de 2 % de la population : ils étaient 5 % en 1976. Comme je l’ai déjà signalé le 7 novembre, le nombre de chrétiens de la bande de Gaza est en chute libre : on n’en compterait plus que 1 100 alors qu’ils étaient encore 5 000 en 2006, voici dix ans…
Source : National Catholic Reporter, 19 décembre
peut-être en est-il comme en Kabylie,chrétienne dans les premiers temps et islamisé par la suite,mais ceux qui veulent reprendre leur ancienne religion sont menacés et risque l’emprisonnement pour le moins;c’est pourquoi je ne comprends pas que l’on nous parle de l’islam comme religion de paix et d’amour.J’avais lu un livre sur lequel il éé écrit que tout enfant nait musulman,que ce sont les parents qui le font juifs ou chrétiens;ils ont une prétention et une imagination débordante.
En vérité, en vérité, je vous le dis, si le grain de blé qui est tombé en terre ne meurt, il reste seul; mais, s’il meurt, il porte beaucoup de fruit (Jn 12, 24)
Que se soit les juifs ou les musulmans tout est fait pour leur rendre la vie impossible.