Le dramaturge Lisandro Rodríguez vient de mettre en scène une pièce de théâtre intitulée Dios (Dieu) dont la première s’est déroulée vendredi 20 juillet dernier sur la scène du Centro Cultural Municipal de Rafaela en Argentine. La scénographie montre brièvement un simulacre de messe catholique puis deux statues l’une de la Vierge Marie et l’autre du pape François que deux acteurs entièrement nus affublent de grands foulards verts saluant l’approbation de la loi autorisant l’avortement dans ce pays, déjà adoptée par la chambre des députés et sur laquelle les sénateurs devront se déclarer le 8 août prochain. La liberté d’expression artistique est-elle absolue et, en tout cas, compatible avec le respect de la conscience des chrétiens ? La question a trouvé une réponse sur une scène de théâtre en Argentine. On me permettra de n’y pas souscrire.
Source : ACI Prensa, 22 juillet
Dios n’est pas un pluriel
le pluriel de Dios est Dioses
@jpm
Merci!C’est corrigé…
Si le dramaturge monte une pièce, c’est qu’il pense avoir suffisamment de spectateurs pour en tirer profit et ne pense pas en être empêché par un organisme quelconque. Vu de l’étranger, le pays est-il en état de déchristianisation avancée ou y a-t-il une dictature de la pensée qui protège cette pièce méprisable?
Les concernés (Le Pape, les évêques, prêtres, l’Eglise argentine) ont-ils au moins réagi pour fermement condamner cette “satanerie” ? Ce serait le minimum !