Ce fut, sans doute, la profanation la plus importante – 216 tombes saccagées – et la plus haineusement antichrétienne – avec un parti pris de destruction de la symbolique chrétienne, et d’elle seule – enregistrée depuis longtemps, que celle qui avait frappé le cimetière Saint-Roch de Castres le 15 avril dernier (voir ici, ici, ici, là, là et encore là). Ce n’est que petit à petit qu’on en a su davantage et, notamment, que le profanateur était un musulman délirant selon les commentaires de l’époque, mais qui semble désormais « serein et apaisé » – comme l’écrit la Dépêche du Midi – après un passage en hôpital psychiatrique. Le juge d’instruction ne l’a pas estimé dément et vient de l’inculper et de le placer sous contrôle judiciaire en attendant qu’il passe au tribunal… Il peut être heureux de n’avoir pas été incarcéré en préventive !
La justice suit bien sont cours dans l’affaire du cimetière saccagé à Castres en avril dernier. Et c’est ainsi que l’auteur présumé du saccage du cimetière de Castres le mercredi 15 avril a reçu la visite des policiers castrais, sitôt sorti de l’internement psychiatrique à Lavaur dont il avait fait l’objet au lendemain de son interpellation. L’officier de police judiciaire lui a transmis notification de sa convocation par le juge d’instruction. Ce dernier l’a reçu lundi après-midi. À l’issue de l’interrogatoire, le présumé auteur du saccage a été mis en examen. Le juge d’instruction a également décidé de placer l’homme sous contrôle judiciaire. Rappelons que le contrôle judiciaire est une mesure qui permet de soumettre une personne à une ou plusieurs obligations jusqu’à sa comparution devant un tribunal. Peu avant son interrogatoire, dans la salle des pas perdus, l’individu concerné, âgé de 21 ans, portant [un] tee-shirt et d’une veste “sportwear”, semblait serein et apaisé. Rappelons qu’au moment de son interpellation « l’homme répétait en boucle des prières musulmanes ; il bavait et s’affichait inaccessible à toute communication », selon les mots d’alors de la vice procureur, qui avait décidé de le faire interner. La veille, il avait été interpellé, soupçonné d’avoir saccagé et parfois dégradé 215 tombes et stèles funéraires du cimetière Saint-Roch. Cet événement avait suscité un grand émoi dans la ville et au-delà, puisque le ministre de l’Intérieur en personne s’était déplacé dans la sous-préfecture et que le Président avait fait par de son émotion. L’affaire suit donc son cours. Elle devrait prochainement connaître un nouvel épisode judiciaire à la barre du tribunal castrais.
Source : Dépêche du Midi, 21 octobre (merci à J.-F. R. de son signalement)
en faisant snit snif je renifle un future djiadiste ?
Et bien attendons maintenant le procès.
@M. Hamiche , vous avez écrit ” Il peut être heureux de n’avoir pas été incarcéré en préventive !”
Je ne sais pas ce que sont, de nos jours, les incarcérations en milieu psychiatrique (c’est à dire fermé), mais pour y avoir “goûté” je crois me souvenir une dizaine de jours en tant que stagiaire étudiante en médecine (on nous appelait “externes” à cette époque-là) au début des années 70, je vous garantis qu’il valait mille fois mieux être incarcéré en prison “normale” qu’en service psychiatrique fermé. C’est une prison dans la prison. Ces pauvres bougres étaient camisolés physiquement et chimiquement, enfermés dans des pièces ne comportant absolument aucun meuble, seulement du rembourrage sur le sol et tous les murs, à l’isolement total. Et lorsqu’un comité de psychiatres experts vous avait qualifié de fou dangereux, c’était l’internement judiciaire ad vitam æternam sans jugement, sans remise de peine possible, sans même aucun appel possible. C’étaient des internements, parfois, pas toujours, abusifs où en tout cas les droits de la personne étaient systématiquement bafoués. C’était pour la jeune fille de 23 ou 24 ans que j’étais absolument insupportable, je me suis débrouillée pour changer de stage. Rien à voir donc avec quelques mois de prison “normale”, même surpeuplée. Mais je parle peut-être d’un monde qui a disparu, je l’espère en tout cas.
Dans le cimetière de Castres de plus de 8000 concessions Chrétiennes,215 tombes chrétiennes ont été saccagées et dégradées par un seul homme musulman considéré comme fou.
Les journalistes à l’époque avaient précisé que le carré juif avait été épargné!!
Drôle de fou ,qui dans sa folie sans mesures ne s’attaque qu’aux tombes Chrétiennes et en épargne d’autres,sa folie était donc ciblée!!
À lui seul sa force était telle qu’il a pu saccager et dégrader 215 tombes!!
N’y avait-il pas de gardien dans ce cimetière ?
L’individu a t-il agi dans un silence absolu ?
Quelle mosquée fréquentait-il à Castres ?
Il ne sera pas condamné à une peine trop forte et sera libre car avec la reforme de la Taub, il n’y a plus d’emprisonnement pour libérer des places dans les prisons.
Il pourra recommencer dès que l’idée lui passera par la tête.
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Il est musulman ?
Que lui soit appliquée la charia ! Après tout, ils la réclament appliquons-là leur !
Cela en calmera.
C’est peut être un exemple des >50% des occidentaux qui sont possédés:
-Il bavait à son interpellation (mais cela peut être une simulation)
-Il a eu la force de détruire 200 tombes seul, les démoniaque ont une énergie surnaturelle! (mais il n’était peut être pas seul)
-Il s’est focalisé sur les symboles chrétiens seuls, les démons ne se trompent pas! (mais il n’avait peut être pas localisé la zone Juive du cimetière)
Il semble que >50% des Français son possédés car incités en permanence à l’hédonisme et à la soumission de leurs désirs.
Je pense que les musulmans ne peuvent que le devenir compte tenu des enseignements de haine et de violence que l’Islam leur font subir.
en prison, il sera à nouveau rendu fou par un imam visiteur de prison, qu’il paie plutôt pour les dégâts commis au cimetière
Et après les médocs officiels, du captagon, peut-être?