Je vous ai signalé ici le 26 mars, la mésaventure survenue au musicien et réalisateur suisse Philippe Decourroux, et la manière, à tout le moins cavalière, dont l’association Cinéma National Populaire (CNP) et sa salle de projection Cinémas Studio avait annulé sa prestation à Tours. J’en envoyé, ce même jour, le courriel qui suit à Cinémas Studio :
« J’ai appris que la projection au Cinémas Studio de Tours du reportage Prostitution et pornographie, enjeu de société ?, et le débat qui devait suivre avec son réalisateur Philippe Decourroux, ce même jour, ont été brutalement annulés par votre association. Le réalisateur a dénoncé cette censure qu’il qualifie de “christianophobe”. Auriez-vous l’obligeance de bien vouloir me fournir vos explications ? ».
Je n’ai pas eu l’honneur d’une réponse à ce courriel… L’expérience m’ayant démontré que lorsque nous sommes plusieurs à poser une même question à une autorité ou un organisme, nous avons plus de chance d’en obtenir une réponse… Je vous suggère donc d’agir en envoyant, à votre tour, un courriel à Cinémas Studio. Je vous propose de recopier tout simplement le texte de mon courriel et de l’envoyer à Cinémas Studio : c’est ici pour l’adresse courriel. Et tenez-moi au courant… Merci !
Les Studios…
En 68, c’était le Studio des Ursulines. Grande salle unique, délabrée, où des souris couraient le long des poutres pendant les projections. Souvenir folklorique, salle de patronage, ciné-club bon enfant.
C’est devenu un complexe à multitude de salles minuscules, et haut-lieu de toutes les activités pseudo-branchouilles auxquelles cette ville socialiste décrépite servait de fumier.
Car, grande nouvelle : la “Gauche”, anticléricale au point d’interdire la diffusion de chants de Noël sur un supposé “Marché de Noël” mercantile, a perdu Tours.
Champagne !