Sur la grave affaire des profanations du cimetière Saint-Roch, on constate d’abord une bataille de chiffres et une bataille “sémantique” : pour la mairie de Castres, ce sont « de 250 à 300 tombes » qui ont été profanées ; pour Charlotte Beluet, procureur adjoint de Castres, il n’y en aurait que « 80 »… Pour le maire de Castres, une chose est certaine : on constate dans ces profanations « un parti pris contre la symbolique chrétienne ». Pour le quotidien régional La Dépêche du Midi, ces profanations sont « sans connotation (…) religieuse » ! Voici un article de France 3 Midi-Pyrénées…
Les services municipaux de Castres (Tarn) ont découvert mercredi après-midi des dégradations sur « 250 à 300 tombes » dans le cimetière Saint-Roch selon le maire de la ville Pascal Bugis, interrogé par France 3. Mais dans la soirée, [le procureur adjoint] de Castres parlait de « 80 tombes » dégradées. Crucifix arrachés et cassés, statues de la Vierge brisées. C’est en tout cas une dégradation de grande ampleur qu’ont découvert les agents municipaux après leur pause déjeuner vers 14 heures. Un individu aurait été aperçu par les agents mais a réussi à prendre la fuite. Aucune tombe n’a en revanche été ouverte et profanée. Pour Pascal Bugis, ces dégradations sont « intolérables par leur ampleur, mais aussi parce que le ou les casseurs s’en sont pris aux symboles de la religion chrétienne ». Pour le maire, il y avait dans cet acte un « parti pris contre la symbolique chrétienne ». En revanche le carré militaire et le carré israélite ont été épargnés.
Sources : France 3 Midi-Pyrénées (15 avril), Dépêche du Midi (15 avril)
Et pendant ce temps, Manuel VALLS nous concocte encore des nouvelles sanctions contre l’antisémitisme et le racisme ! ad nauseam … Pitié pour les chrétiens !