Les quatre récentes attaques contre des églises catholiques dans la seule ville de Delhi, capitale de l’Inde, ont laissé le Premier Ministre Narendra Modi totalement muet : aucune condamnation publique de sa part. Les responsables chrétiens et l’opposition au Congrès dénoncent cette insensibilité de Modi. Mais le Premier Ministre, issu du Bharatiya Janata Party (BJP), est aussi politiquement soutenu par des nombreux groupes extrémistes hindous violemment antichrétiens. Ceci doit expliquer cela ou, si vous préférez, « qui ne dit mot, consent »… Une délégation œcuménique chrétienne, comportant trois évêques, a été reçue par Modi autour de Noël, mais à leur insistance pour que le Premier Ministre dénonce publiquement les agressions contre les chrétiens, l’intéressé leur a répondu qu’il ne ferait aucune déclaration sur ce thème… Depuis l’arrivée du BJP au pouvoir les agressions et exactions contre les chrétiens sont en forte hausse.
Source : UCAN India (15 janvier)
C’est le vivre ensemble en Inde.
Est ce une république partisane et non démocratique ?
Décidément notre religion chrétienne n’est pas aimée; elle qui prône l’amour et l’espérance.
L’amour dérangerait il ?