C’est le site Aleteia qui donnait cette information hier : « Selon une source locale de la province de Ninive citée par l’édition arabophone d’Aleteia mais qui a demandé à ne pas être citée, les fanatiques islamistes de l’EIIL [État Islamique] ont décidé mercredi [23 juillet] dernier de transférer les biens volés aux chrétiens de Mossoul vers la cité syrienne de Raqqa, afin de “répondre au besoin d’équilibrer le niveau de vie entre les deux villes d’Irak et de Syrie” ».
Source : Aleteia (25 juillet)
Et à Raqa règne la terreur islamique :
“Les combats, première confrontation d’une telle ampleur entre l’EI et les forces du régime [syrien] ont pris fin vendredi soir avec le retrait de l’armée.
“Des centaines de soldats qui ont survécu ont battu en retraite vendredi vers des endroits sûrs”, mais “le sort de quelque 200 d’entre eux demeure inconnu”, a déclaré M. Abdel Rahmane.”
“Certains des soldats exécutés ont été décapités, et leurs corps et les têtes coupées exposés à Raqa”, a-t-il ajouté.”
http://actu.orange.fr/monde/syrie-les-jihadistes-s-emparent-d-une-importante-base-de-l-armee-dans-le-nord-afp_CNT0000003h9jw.html
Voici l’un des résultats de la politique américaine en Syrie.
Les jihadistes ont diffusé sur Twitter des photos de corps de soldats décapités dans les rues de la ville.
Tout ceci est édifiant, navrant, et surtout tragique. Mais cette situation perdurera aussi longtemps que nos dirigeants français et européens cireront les babouches des américains. Partout où ils passent la paix et la vie trépassent.
Encore une qualité de ces musulmans : des usurpateurs et des voleurs [modéré]
Peut-être que la Communauté internationale ne peut pas intervenir manu militari sur un territoire occupé par les musulmans même quand il s’agit du salut de l’humanité ?
Je crois surtout que la lâcheté est devenue universelle à cause de ce qui est pire que la lâcheté, et qui est un pharisaïsme entretenu par de secrètes convoitises et de secrètes rivalités .
Aucune voix ne s’élève, nul ne fait un geste de peur d’être le premier et de voir se tourner contre lui tout le chœur des Baccantes médiatiques.