Un lecteur (merci F. Q. !) m’écrit ceci :
Pour votre information, j’ai été témoin devant ma télévision d’un cas de christianophobie. Je souhaitais vous en informer : Gérard Mordillat a cité, sur Ciné + Club entre 20 h 30 et 20 h 45 le 10 décembre, la phrase suivante : « L’homme [ne] sera vraiment libre lorsque que le dernier aristocrate sera pendu avec les tripes du dernier prêtre. » Et Mordillat a conclu en précisant : J’en suis toujours là…
Soutien de longue date du PCF, il a réalisé, avec son complice Jérôme Prieur, de pesantes “enquêtes” sur les origines du christianisme que la chaîne Arte nous inflige pieusement avec une délicatesse de marteau-pilon et une régularité de coucou suisse.
Que Gérard Mordillat « en soit toujours là » montre que ce dévot de la religion du Progrès ne progresse guère. On lui suggérera d’abandonner un temps ses enquêtes sur les origines du christianisme, pour se consacrer un peu à l’histoire littéraire. Il pourra ainsi apprendre que la citation qu’il a donnée le 10 décembre dernier, n’en est pas une. Les prototypes de cette citation fautive sont du curé Jean Meslier, mort en 1729, prêtre mécréant que Voltaire fera connaître seulement à partir de 1762. Voici les deux citations de Meslier, toujours citées de travers : « Je voudrais que le dernier des rois fût étranglé avec les boyaux du dernier prêtre » et « Il serait juste que les grands de la terre et que tous les nobles fussent pendus et étranglés avec les boyaux de prêtres. » Charmant. Et un tantinet raciste. Il est possible que Diderot se soit inspiré de ces citations de Meslier pour en concocter une à sa façon. En tout cas, on lui prêtait cette pensée, sept ans après sa mort, dans la feuille révolutionnaire la Bouche de Fer : « Quand le dernier des rois sera pendu avec les boyaux du dernier prêtre célibataire, le genre humain pourra espérer être heureux » (juillet 1791). On a fait pire depuis, mais le genre humain me semble toujours bien malheureux…
Allez mordillat,arrête le brushing cranté,lave-toi la tête ,cela remettra en place ce qu’il te reste des neurones!!!
Quand on n’à que l’Amour à s’offrir en partage…La haine n’a pas son héritage !
Il faudrait demander à ces messieurs si de telles sottises les aident à vivre?Se déplacer pour entendre ce genre d’inepties,il faut vraiment ne rien a voir d’autre à faire!je n’avais entendu que quelques mots venant d’eux à la radio,tout à fait par hasard,j’avais compris que rien de bon ne viendrait par leur bouches.
Je suis lasse de toute cette haine! ! Tous ces laicards sont de pauvres mortels finissant! On assiste a la fin de la generation soixantuitarde Boff! On les laisse, on
ne va pas “tirer sur une ambulance” !!!
Çà ne vole quand même pas trés haut, ce Mordillat. Qu’aurait -il fait en 1793 ? Tuer des innocents et couper des têtes au nom du progés et de la liberté ?
C’est un bel appel au meurtre de personnes en fonction de leur appartenance sociale ou religieuse, monsieur le juge ! Mais Gérard a l’immunité de par son soutien au PCF.
Merdillat, “socialope-intello” de combat aux petits bras, fait partie de la même camarilla que son ami Peillon. Il faut résister à cette “bien-pensance” de gôche qui, depuis quatre vingt dix ans, a commis plus de cent millions de crimes contre l’humanité * !
*cf. “Livre noir du communisme” & “Car toute l’opération consiste bien, avec la foi laïque, à changer la nature même de la religion, de Dieu, du Christ, et à terrasser définitivement l’Eglise”(Citations tirées de l’ouvrage de Vincent Peillon, ex Ministre de
l’Abrutissement National in ” La Révolution française n’est pas terminée” Seuil-2008)
Le plus terrible pour notre Seigneur c’est qu’il y a des Catholiques de gauche,je n’ais jamais compris la raison ,être pour DIEU et suivre les idées qui le renie,pauvre Âme ravagée que ce Gérard .SAINT GERARD DE MAJELLA ouvré lui les yeux.
Je parie qu’il aime mieux les imams et les rabbins ! Il oserait pas dire le contraire , beaucoup trop lâche le gerard !
!
Un dinosaure !
Il ne le sait pas que celui qui n’évolue pas est appelé à disparaître.
On savait Arte mobilisé pour les espèces en voie de disparition , mais à ce point là ….
J’invite Mordillat chez moi car je suis aristocrate de vieille souche, fière de l’être et fière d’être chrétien. Mes ancêtres furent baptisés en même temps que le roi Clovis. ET ce n’est pas ce freluquet qui me fera peur. Vive la France, ceux qui l’ont faite et vive le Christ roi de ma vie.
G Mordillât fait partie des Français qui n’ont pas évolué depuis 1793. Il devrait lire “la ferme des animaux” de George Orwell. Un cochon prend le pouvoir car les animaux ont fait une révolution en chassant le fermier qui les gouvernait. Tous se soumettent au cochon et ses chiens de garde car on leur a dit: “maintenant nous sommes tous égaux”, ils se sont fait rouler dans la farine, Orwell écrit: “tous les animaux sont égaux, mais quelques animaux sont plus égaux que d’autres”. L’orgueil de Mordillât en prendrait un coup en lisant comme l’étranger voit l’histoire de France
Mordillat; Caniche embusqué à la dent agacée, qui joue, rageur, de la mâchoire, sur son os à ronger. Pauvre mâtin, gris plus que blanc, coureur, qui hurle à la lune en croissant. Hirsute chien perdu sans collier, plus dépassé qu’attardé. Chien de trait, tirant sur sa chaîne culturelle mais athée, chien de guerre des guerres de Vendée, né avec une dent en la gueule. Chien de fusil, dent de chien ! Bâtard, errant, fils des rues, des venelles sombres de la raie publique. Adepte de ce qui en sort. Chien leurré jouant du verbe trompeur comme de ses coprolithes qu’il prend pour autant de pépites. Chien de manchon, chien-chien à la veuve noire, noire dessein. Aboyeur des trois jours de nuit, joueur de flûte, faiseur, faux prophète de tous les rongeurs suivistes. Où les mène-t-il, sinon aux enfers, pour le service de son Chef de Meute, le Grand Menteur ? Laissez passer cette troupe, elle va son destin, ne fallait-il pas que des brebis et des boucs, on fisse le distinct ?
@Abel de Clairvoix
Votre commentaire me laisse une drôle d’impression, disons, engendre des réactions contradictoires de ma part.
En même temps vous soulignez que chacun ici-bas se forge son propre destin pour l’éternité : quel chrétien à la théologie solide pourrait le nier, bien que cet état de fait ne soit plus guère prêché ? Le jour du jugement dernier, sans appel possible, sera terrible. Matt 25,33-34 « Il mettra les brebis à sa droite et les boucs à sa gauche. Alors le roi dira à ceux qui seront à sa droite: Venez, vous qui êtes bénis de mon Père ; prenez possession du royaume qui vous a été préparé dès la fondation du monde. » Et alors personne ne pourra plus rien pour personne. Seuls ceux qui se seront mis au bénéfice du sacrifice rédempteur de Jésus pourront échapper à la juste colère divine. Tous ceux qui l’auront volontairement refusé n’auront plus qu’à s’en prendre exclusivement qu’à eux-mêmes, leur orgueil, leur soi-disant indépendance et leur liberté de penser mal orientée. Ils ne pourront pas arguer qu’ils ont été contraints au rejet de ce sacrifice inouï.
Et force nous est de constater, malgré toute notre compassion pour les âmes perdues, que certains de nos contemporains foncent tête baissée vers ce destin de réprouvés.
Mais en même temps quelque chose me gêne dans votre commentaire, fort bien tourné par ailleurs : il semblerait que cette situation vous réjouisse. Dans votre écrit, il y a du : « Nanana Nanère ! C’est bien fait pour toi ! » des cours de récréation.
En tant qu’être humain, solidaire de toute l’humanité, nous ne pouvons pas nous réjouir de voir les gens se perdre. Surtout tant qu’ils sont en vie, il nous faut toujours garder l’espérance que leur cœur puisse un jour, par la seule grâce de Dieu, être touché par l’appel du Christ. Il faut prier avec ardeur pour cela. Ne jamais baisser les bras, ne jamais prendre son parti de cette perdition éternelle. Je sais bien que nous sommes conviés à ne pas jeter des perles aux cochons. Matthieu 7,6 : “Ne donnez pas les choses saintes aux chiens, et ne jetez pas vos perles devant les pourceaux, de peur qu’ils ne les foulent aux pieds, ne se retournent et ne vous déchirent.” Il faut savoir exercer son discernement avec l’aide de l’Esprit Saint. Mais je retiens surtout la leçon du brigand sur la croix qui s’est repenti in extremis (Luc23,40-43) et cela m’encourage à toujours être dans l’espérance pour les perdus que je connais.
Y aura-t-il un seul lecteur de ce blogue à prier avec moi pour la conversion de M. Mordillat par amour pour Jésus mort pour vous, pour moi mais aussi pour lui ? Luc 15,7 “Il y aura plus de joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se repent, que pour quatre-vingt-dix-neuf justes qui n’ont pas besoin de repentance.”
Comme ses confreres d’extreme gauche, Mordillat ne denonce ni l’islam, ni la charia, ni le terrorisme islamique. Il semble qu’il prefere “tapper” sur le christianisme.