J’ai d’abord pensé que la dépêche de Ma’an News Agency – une agence de presse palestinienne – du 1er octobre (mise à jour le 3 octobre) était un doublon de mon précédent post relatant une profanation de tombes chrétiennes à Jérusalem le dimanche 29 septembre, mais il s’agit bien, hélas !, d’un autre acte de vandalisme. Voici la traduction d’une partie de la dépêche.
Des extrémistes israéliens sont suspectés d’avoir vandalisé un cimetière chrétien dans le quartier de Silwan à Jérusalem-Est, tôt mardi matin [1er octobre] (…) Le Père Firas Hijazeen [OFM, prêtre franciscain de la paroisse San Salvatore/Saint Sauveur de Jérusalem, Patriarcat Latin de Jérusalem – L’Obs] a déclaré que les extrémistes avaient détruit une pierre tombale et tagué des slogans racistes sur les murs du monastère latin de Silwan. Il a fermement condamné cette attaque. Le Wadi Hilweh Information Center a signalé que les extrémistes avaient aussi crevé les pneus de six voitures et tagué des graffiti racistes et « prix à payer » (price tag) sur les murs.
Source : Ma’an News Agency
c est inacceptable