Dans un article mis en ligne sur son site le 29 juillet, Libération, le quotidien des banques et des bobos, s’étrangle de colère : Oleg Vorotnikov, l’activiste russe fondateur du « groupe artistique » (sic !) Voïna (guerre en russe) et protecteur des profanatrices christianophobes Pussy Riot, a été arrêté le 27 juillet à Venise à sa suite d’une rixe avec les occupants d’un squat anarchiste que lui-même squattait… Le police l’a retrouvé le visage en sang et une hache à la main… Recherché par Interpol suite à une demande de la Russie, pays qu’il a fui, Oleg Vorotnikov risque, s’il est extradé, de se retrouver en prison, une perspective que ne veulent même pas imaginer les soutiens du délinquant comme l’ukrainienne Oksana Chatchko fondatrice du mouvement Femen… Que du beau monde.
Source : Libération (29 juillet)
C’est en réalité une toute petite histoires de quelques dingues . Et les média de Gauche en ont fait un maxi -phénomène .
C´est ce qui s´appelle en prendre plein la tronche. Qu´est-ce-qui peut encore plaindre ce sale type, la même graine que lui, évidemment ? Espèrons qu´il sera extradé dans son pays, la Russie, où j´espère, ( ils) ne s´occuperont pas seulement de sa sale tronche !
Le mieux encore, serait de joindre à lui toutes ses protégées, ce serait un bon débarras.