Qui veut noyer son chien… Le proverbe vaut aussi dans le Laos communiste !
Cinq responsables chrétiens de la province de Savannakhet sont accusés de meurtre et risquent une longue peine de prison. Ces accusations sont totalement dépourvues de fondement et instrumentalisées pour “décapiter” les communautés chrétiennes de la province de façon à empêcher la diffusion de la foi chrétienne. Comme Fides l’a appris, les cinq leaders sont accusés d’avoir tué une femme, chrétienne, décédée de mort naturelle, à laquelle ils avaient rendu visite au cours des quelques heures qui lui restaient à vivre, pour lui apporter le réconfort de la foi et de la prière. Mme Chan, du village de Saisomboon, est décédée le 22 juin, au bout de deux ans de maladie et de nombreuses interventions de médecins et guérisseurs. Cette femme, mère de huit enfants, s’était convertie du bouddhisme au christianisme en avril dernier. Par un geste qui constitue une violation flagrante de la liberté religieuse, le chef du village avait déjà empêché la tenue des funérailles chrétiennes, imposant des obsèques selon le rite bouddhiste et provoquant la déception de la famille (huit enfants, eux aussi convertis) et des autres fidèles du village (où cinq familles ont embrassé la foi chrétienne). Les cinq responsables de communautés chrétiennes des villages environnants étaient sur place, avec d’autres fidèles, pour participer aux funérailles. La police les a arrêtés avec l’accusation de meurtre. Comme l’a rapporté à Fides l’ONG Human Rights Watch for Laos Religious Freedom (HRWLRF) sont actuellement emprisonnés : Mme Kaithong, responsable de la communauté de Saisomboon, M. Puphet, responsable de l’église du village de Donpalai, M. Muk, responsable chrétien du village de Huey, M. Hasadee, qui guide les fidèles du village de Bunthalay, et M. Tiang. « Les autorités cherchent tous les prétextes pour arrêter l’expansion de la foi chrétienne dans la région », affirme HRWLRF qui demande la libération immédiate des cinq innocents, exhorte le gouvernement laotien à respecter le droit de tous les citoyens à la liberté religieuse et à garantir la légalité et l’État de droit.
Source : Agence Fides (26 juin)
On est dans la persécution…(http://www.prophete-du-sacre-coeur.com/)
Je me demande se que pense Jean Paul II lui qui vois depuis le ciel ,lui qui avait mis Bouda sur son AUTEL ,merveille de l’œcuménisme ?Église de Jésus Christ ,Église Catholique Apostolique et Romaine ,prie notre Seigneur pour tout ses gens persécutés de par le monde ,c’est pire que dans les années 1940.
étant donné qu´il s´agit de sectes américaines, laissons les Américains s´en occuper.
Pardonnez-moi, mais où voyez vous une quelconque mention de “sectes américaines” ? Je ne prétends pas connaître toute la situation, mais, sauf erreur de ma part, cet article parle uniquement de chrétiens. Et si vous en tirez cette conclusion simplement du fait que ce texte n’affirme pas que ces personnes seraient catholiques, n’oubliez pas que vous vous trouver tout de même sur le site de l’observatoire de la “christianophobie” et non de la “catholicophobie”…
Encore des persécutions de chrétiens par des communistes de mauvaise foi !
Non, Elisabeth! il faut aussi s’en occuper et prier pour ces chrétiens.
Voici ce que disait le pasteur Niemöller à Dachau :
« Je n’ai rien dit »… par Martin Niemöller
Le pasteur Martin Niemöller
Le pasteur Martin Niemöller
Quand ils sont venus chercher les communistes,
je n’ai rien dit.
je n’étais pas communiste
Quand ils sont venus chercher les syndicalistes,
je n’ai rien dit.
je n’étais pas syndicaliste
Quand ils sont venus chercher les juifs,
je n’ai rien dit.
je n’étais pas juif
Quand ils sont venus chercher les catholiques,
je n’ai rien dit.
je n’étais pas catholique
Et, puis ils sont venus me chercher.
Et il ne restait plus personne pour protester
Als die Nazis die Kommunisten holten,
Habe ich geschwiegen ;
Ich war ja kein kommunist.
Als sie die Sozialdemokraten einsperrten,
habe ich geschwiegen ;
ich war ja kein Sozialdemokrat.
Als sir di Juden holten,
Habe ich geschwiegen ;
Ich war ja kein Jude.
Als sie die Katholiken holten,
habe ich nicht protestiert ;
Ich war ja kein Katholik.
Als sie mich holten, gab es keinen mehr,
der protestieren konnte.
Dachau – Pasteur Martin Niemöller, texte revu par Berthold Brecht.
“…Heureux les affamés et assoiffés de la justice… Soyez dans la joie et l’allégresse, car votre récompense sera grande dans les cieux.”
Celui qui refuse, sciemment, volontairement et durablement, pour quelque motif que ce soit, la plus infime partie de l’Évangile, ne peut se prétendre chrétien.