La suppression de la page Facebook de Femen n’aura pas duré bien longtemps : quatre jours… La voici rétablie moyennant quelques interventions sur Photoshop, cachant désormais les aréoles et tétons des photos des donzelles… Sans commentaire, car je ne suis pas dans un jour à me fâcher…
Les Femen récupèrent leur page Facebook !

Daniel Hamiche
Daniel Hamiche est journaliste et président de l’association Amitié catholique France/États-Unis. Il a lancé, en 2007, le blogue Americatho (aujourd’hui membre du portail de réinformation Riposte Catholique). Il est administrateur et rédacteur du blogue L’Observatoire de la Christianophobie.
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Dommage ! Photoshop a supprimé la seule chose qu’elles avaient d’intéressant !
@Michel
Zavez pas honte ? Blague à part, la seule chose intéressante qu’elles ont, ce sont leurs âmes. Qu’on ne l’oublie pas. Nous avons déjà lancé une neuvaine pour elles – ce qui les a fait bien rigoler, ont-elles dit sur leur page Facebook –, peut-être faudra-t-il en relancer une…
Ne vous mettez pas en colère,cher Daniel,à force de chercher elles ont trouvé un souteneur!!!
Ces vipères ,elles aussi ne lâchent rien!!!
Mais elles finiront par tomber pas comme un fruit mûr mais comme un fruit pourri !!!
C’est Clemenceau qui disait : “La tolérance ! la tolérance ! Il y a des maisons pour ça.”
Ou Claudel ?
Si les djihadistes takfiris étaient plus tolérants à l’égard des chrétiens (et aussi des autres musulmans), ce ne serait peut-être pas plus mal…
C’est quand même drôle , nous sommes pris entre le voile islamique et le débraillé de la république laïque .
Zavez vu le logo (bleu blanc rouge) des “Femen” ça ressemble bougrement à des lunettes de WC !
Ceux qui se sont battus pour la France sous ces trois couleurs doivent se retourner dans leur tombe. Comment leur interdire ces couleurs ? Ou bien faudrait-il changer le drapeau français irrémédiablement sali .
Il y en a bien un un drapeau qui ne soit couvert de honte, qui ne soit trempé du sang des innocents. Il est blanc couvert de fleur et porte le sacré-coeur de notre seigneur. In hoc signo vinces.