Je n’en sais pas plus que le peu que le journal Haut Anjou me permet d’en lire… Si des lecteurs en savent davantage, leurs contributions seront les bienvenues.
On ne connaît pas la date exacte des méfaits. Toujours est-il que, le 23 mars, lorsque le sacristain de l’église de Pouancé tente d’ouvrir la porte du tabernacle, elle reste bloquée. Pour rendre à nouveau accessible ce petit coffre, où sont déposées les hosties consacrées (le corps de Jésus-Christ aux yeux des catholiques), il faudra l’intervention d’un serrurier. À nouveau ouvert, le coffre apparaît vide.
Source : Haut Anjou (18 avril)
Pontier et autres carpettes épiscopales, comme [modéré] Dagens feraient mieux de faire reconnaitre un organislme collégial défendant judiciairement le droit de faire respecter nos lieux de cultes !!!
Scènes de la vie ordinaire…
Une honte…la profanation de nos églises s’est banalisée !
Quand allons-nous riposter ?
UNE HONTE: La profanation de nos église s’est banalisée !
Quand allons-nous réagir ?
Le curés doivent sécuriser davantage les tabernacles…. c’est une dépense prioritaire puisqu’il contient les saintes espèces du Corps et du Sang du Christ, vrai trésor des catholiques. Par les temps qui courent, avec le satanisme montant, il ne faut pas lésiner.