Aujourd’hui dimanche, Me Mohanad Mustafa, avocat de Meriam, devrait déposer auprès du procureur de l’État soudanais, une demande destinée les charges « d’usage de faux » dont elle est inculpée pour avoir présenté, à l’aéroport de Khartoum, des papiers jugés « illégaux » par le gouvernement de Khartoum. « Si la réponse est positive, elle peut alors quitter le pays » avec son mari, Daniel Wani, et leurs deux enfants, a précisé l’avocat à l’AFP.
Source : Jeune Afrique (28 juin)
Continuons a Prié pour une libération le plu rapide possible .
Quand on voit comment “chez nous” la justice est soumise au pouvoir politique, comment tout magistrat est d’abord soucieux de faire avancer sa carrière, je ne doute pas que dans des pays soumis de manière endémique à la corruption, il y ait moyen de trouver des arrangements avec le diable.