L’église dite priorale de Saint-Quirin, une commune qui en compte sept, conserve la chasse des reliques de son saint tutélaire. L’objet volé n’est pas d’une grande valeur commerciale mais plutôt sentimentale.
Depuis des générations, les enfants, admiratifs devant la crèche de la priorale, avaient aussi un faible tout particulier pour l’angelot qui acceptait leur piécette en offrande et les remerciait par un salut de la tête. En prime, il leur restituait une jolie mélodie. Entre Noël et Nouvel an, s’est-il envolé, lassé devant tant de sollicitude de ses admirateurs ? Ou plus tristement, a-t-il été la victime malencontreuse d’un cleptomane. C’est ce qu’a déduit le président du conseil de fabrique, Jean-Claude Brimont, qui a déposé plainte auprès de la gendarmerie en constatant sa disparition. Un visiteur indigné confie : « Après le vol d’une relique, allons-nous être obligés de sécuriser les églises, comme des banques, ou de les fermer aux fidèles, aux pèlerins et aux visiteurs ? » Le système de vidéosurveillance qui sera prochainement installé dans l’église priorale déjouera-t-il à l’avenir ce genre d’acte de malveillance ?
Source : Le Républicain Lorrain, 5 janvier
Il est claire que dans toute la France, un nouveau métier fait sont apparition:
Les récupérateurs de richesses abandonnées en apparence.
Comme il n’y a pas de sot métiers d’ou le laxisme?
Qu’ils détruisent ce qu’ils veulent, l’église n’est pas qu’un bâtiment, la foie catholique ne disparaîtra pas!
voler dans les églises c’est impardonnable