Alors que nous sommes toujours sans nouvelles du sort des 52 familles – soit quelque 300 personnes – de chrétiens assyriens otages de l’État Islamique depuis le 23 février dernier, Asyrian International News Agency (AINA) a mis en ligne hier au soir (à 22 h GMT) une série de photos – non datées, probablement de l’été dernier – récupérées sur des comptes twitter de l’État Islamique montrant le sort que ses militants ont réservé au monastère catholique Saint-Georges de Mossoul (Ninive), la grande ville tombée entre leurs mains le 10 juin 2014. L’acharnement des djihadistes notamment sur les Croix est révélateur de “celui” qui les inspire dans ces actes sacrilèges…
Source : Assyrian International News Agency (16 mars)
C’est extraordinaire qu’on ne puisse pas les arrêter meme avec le torchon dont ils se servent pour cacher sur la figure
Pour cacher leur figure.
Le fait qu’ils agissent masqués illustre bien qu’ils savent qu’ils font le mal…
En France il exite de tjiadistes seulement depuis le7 javier 2015 du reste silence!
Rectification: Le 7 Janvier
No comment
Ils se cachent comme Adam et Eve après leur désobéissance …
Ils s’en prennent à la Croix qui les sauve , mais relisez le Dialogue de Sainte Catherine de Sienne sur le sort qui est réservé à ceux qui n’ont rien reçu de l’enseignement de Notre Seigneur , quand ils seront jugés .
Si on les laisse faire, un jour ils feront ceci à Nice ou à Lyon…
A leurs yeux nous ne sommes que des paysans mais qu’ils se ravisent, car je prie pour que ce jour la, le seigneur nous donne la foi, des fusils et des cartouches et nous saurons défendre l’église avec ferveur et sans “extremisme”.
ce qui est fait de mains d’hommes peut être détruit, mais ce qui est l’œuvre de Dieu et de son fils Jésus Christ ne peut pas être détruit: le christianisme, l’Esprit Saint reçu. Un jour ce monastère sera reconstruit
Toutes les nations de notre planête terre devraient hurler au ciel pour toutes ces folies.Hélas rien dire s’est consentir!
“par suite de la croissance du mal, l’amour se refroidira chez beaucoup” (Matthieu 24/12)