Il s’y engage, certes, mais par des paroles. Attendons des faits concrets car ceux auxquels Narendra Modi nous avait accoutumé étaient plutôt… de ne rien faire, précisément, pour empêcher les persécutions grimpantes contre les chrétiens depuis son arrivée au pouvoir…
Que des actions concrètes succèdent aux paroles prononcées : c’est par cette invitation que les évêques catholiques indiens ont accueilli les déclarations du Premier Ministre indien, Narendra Modi, qui a promis l’engagement de son gouvernement en faveur de la protection des minorités religieuses. « Nous accueillons avec faveur ses paroles et nous attendons désormais des démarches concrètes afin de mettre un terme à la violence » a déclaré à l’Agence Fides le Père Joseph Chinnayyan, porte-parole de la Conférence des évêques catholiques de l’Inde. Selon le prêtre, les paroles du Premier Ministre, critiqué par le passé pour son silence face à des épisodes de violences contre les chrétiens et à propos des récentes attaques d’églises perpétrées à Delhi, « sont des déclarations importantes. Il a réaffirmé que toutes les religions ont les mêmes droits en Inde, qu’elles soient majoritaires ou minoritaires et que tout individu a la liberté de professer et de diffuser sa religion. Nous sommes heureux de ces paroles qui représentent un message pour tous, y compris pour les groupes extrémistes hindous. Maintenant, nous attendons les faits ». Narendra Modi a participé à un événement organisé par l’Église catholique syro-malabare afin de commémorer la canonisation de deux Indiens, intervenue l’an dernier. Sa présence a été accueillie à elle seule comme un signal positif. Dans son discours, le Premier Ministre a déclaré entre autre : « Nous condamnons tous les épisodes de violence qui ont pris pour cible les minorités religieuses. Aucun groupe religieux ne peut inciter à la violence. Mon gouvernement garantira une complète liberté de foi et ne permettra pas qu’un groupe religieux quel qu’il soit, appartenant à la majorité ou à la minorité, puisse inciter à la haine contre les autres, ouvertement ou à demi-mot ». Sur 1,2 milliards d’habitants, l’Inde compte 75 % d’hindouistes, 13% de musulmans et 4,5% de chrétiens, toutes confessions confondues, sachant qu’y sont également présents d’autres cultes minoritaires.
Source : Agence Fides (18 février)
Prions qu’il tienne parole….
Rien à rajouter d’autre que prendre acte de cette déclaration et que se réalise ce qui est énoncé à la première ligne : “Que des actions concrètes succèdent aux paroles prononcées”.
Seigneur, aie pitié de nos frères et sœurs chrétiens d’Inde ! Fais que cette déclaration bienvenue soit suivie d’effets !
Belles paroles, en attendant les faites et l’effet !!!
Si l’Eternel ne garde la maison, les veilleurs gardent en vain. Cette parole biblique nous rassure et nous permet de ne pas compter sur les humains, et encore moins les humains paiens. Même si ceux-ci ont de bonnes intentions….à prétentions électorales ou à leur gloriole.
L’Eternel est vivant et vie de mon être disait Elisée, et c’est encore vrai pour ses enfants.
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Après la défaite du gouvernement aux élections de février au parlement régional de l’état de Delhi, voila que Norendra Modi s’engage à protéger les chrétiens, il a été mis au pas