Pour ceux qui n’auraient pas suivi cette affaire depuis sont début, je leur suggère d’aller y voir ici, ici et là. L’article de La Dépêche qui traite de l’audience de ce jour est un peu plus détaillé que les précédents. Toutefois, ni le nom ni la religion de la profanatrice ne sont précisés. Curieux. Imaginons que Pierre Dupont, habitué de la chapelle de la Fraternité Saint-Pie X de Trifouillis-les-Oies, ait commis cet acte de vandalisme doublé d’un acte de profanation, on en aurait entendu causer avec tous les détails… Là, rien ! Mais, heureusement, on sait encore lire. Il s’agit bien d’une musulmane qui a d’ailleurs signé son forfait en le perpétrant voilée et en laissant un exemplaire du Coran sur place. On peut tout à fait imaginer que son mari n’est point parti en Syrie pour apprendre la fabrication du savon d’Alep… M’étonnerait pas qu’il soir fiché “S”.
La commune de Rennes-le-Château avait déposé plainte et s’était constituée partie civile après l’attaque pepétrée par une femme, le 23 avril, dans l’église. C’est ce matin [8 septembre], à Carcassonne, qu’est audiencé le procès de la jeune femme qui avait décapité à la hache une statue représentant le démon ailé Asmodée dans l’église Sainte-Marie-Madeleine, à Rennes-le-Château, le dimanche 23 avril dernier. Elle est poursuivie pour « dégradation ou détérioration d’un édifice affecté au culte ». La commune de Rennes-le-Château, propriétaire du bâtiment, avait déposé plainte et s’était constituée partie civile. Le 23 avril, alors que se déroulait le scrutin du premier tour de l’élection présidentielle, une jeune femme, âgée d’une trentaine d’années, un voile sur la tête et le visage dissimulé par un masque vénitien, avait pénétré dans l’église vers 11 h 15. Elle était arrivée dans le village vers 9 h, avait bu un café en attendant l’ouverture de l’édifice. Dans l’église, elle avait décapité le diable en laissant à proximité un Coran, puis elle avait lacéré le bas-relief de l’autel de Marie-Madeleine. Des visiteurs, témoins de la scène, avaient donné l’alerte. À l’arrivée des gendarmes, la dame se trouvait étonnamment calme, avant de lancer ces folles déclarations : « Aujourd’hui, c’est un jour d’élection présidentielle, pendant qu’en Syrie, l’Occident bombarde et tue des enfants ! Vous êtes tous des mécréants ! Mon mari est là-bas ». Après sa garde à vue, la jeune femme, originaire de Quillan, avait été transportée au service psychiatrique de Limoux. La suspecte avait toutefois été déférée devant le parquet de Carcassonne qui n’avait pas retenu « d’abolition de son discernement ». Elle avait été dans la foulée placée sous contrôle judiciaire. La restauration de cette statue devrait être lancée ce mois-ci […] La fin des travaux est prévue en décembre. Cette statue et le bas-relief [de fait, le bas-relief semble plutôt être une toile peinte… L’Obs] font partie du décor réalisé à la fin du XIXe siècle sous l’impulsion d’un certain abbé Saunière… L’église et ses décors font d’ailleurs l’objet d’une inscription aux monuments historiques.
Source : La Dépêche, 9 août (merci J. F. R. pour ce nouveau signalement)
S’est vraiment la foire à la stupide folie,encore une pôôvre persone avec un grain.
Hélas tout le clan a un énorme grain sans remède.
Si elle a décapité satan pour y mettre le coran à la place, c’est kif kif !