La police catalane l’avait laissé entendre… À présent nous le savons puisque l’un des islamistes membre du groupe terroriste, est passé aux aveux.
« La déposition de Mohamed Houli devant les Mossos d’Esquadra [« agents d’escadron » : police catalane] a apporté plus de détails sur l’action planifiée contre la Sagrada Familia et d’autres églises à Barcelone [souligné par L’Obs]. Selon ce qu’on confirmé des sources judiciaires, le blessé dans l’atelier où se fabriquaient les bombes dans la villa à Alcanar, a confirmé à la police autonome [catalane] que le monument emblématique et l’un des symboles de Barcelone, était [l’un] des objectifs […] Houli a confirmé ce mardi [22 août] devant le juge Fernando Andreu sa déposition à la police et cité explicitement la basilique située au cœur de la ville ».
Selon les milieux proches de l’enquête, les islamistes avaient le projet de fabriquer une bombe de très forte puissance combinant l’effet « de 500 litres d’acétone et d’une centaine de bonbonnes de gaz butane »… À signaler qu’une seizième victime des attentats islamiques, est décédée hier, dimanche 27 août, dans un hôpital des suites de ses blessures. L’état de cinq autres hospitalisés est qualifié de « critique » par les médecins.
Source : El Confidencial, 23 août
Ennemis du bien, ennemis du beau, ennemis des hommes, ennemis de Dieu.
Finalement il est bon que tous les islamistes responsables de l’attentat n’aient pas tous été tués pour que l’un au moins parle du danger extrême visant les églises et la basilique de la Sainte famille !
Le résultat sera hélas le même, et cela ne changera pas grand chose, encore moins en catalogne!
Au lieu de nous assommer avec des faits divers et des minutes de silence respectueuses, les Média et les Politiciens devraient exprimer leur prise de conscience que l’islam et l’islamisme en particulier ont planifié la reprise de l’Andalousie (Espagne entière), que ces musulmans considèrent comme partie du Califat, en mémoire de l’époque où ils ont conquis la péninsule ibérique. Sans avoir peur des mots, il faudrait utiliser les termes qui conviennent à la situation : c’est une guerre et il faut commencer à nommer clairement les ennemis !