Non, ce n’est pas un musulman qui s’insurge, mais un Valaisan “libre-penseur”. S’il lui arrivait un accident cardiaque à Paris, refuserait-il d’être pris en charge par l’hôpital Saint-Joseph (petites croix dans toutes les chambres, j’en sais quelque chose…), à celui de la Charité chrétienne, de la Charité Notre-Dame, de l’Enfant-Jésus, des Frères de Saint-Jean-de-Dieu, de l’Hôtel-Dieu, du Saint-Nom-de-Jésus, etc. ? Ce personnage est guérissable – et tant mieux – mais hélas incurable…
À 88 ans, l’écrivain valaisan Narcisse Praz est un phénomène de longévité et de suite dans les idées. Né à Nendaz dans un creuset catholique, il n’a cessé de fustiger dans sa vie la religion et toute forme d’obscurantisme. Quand il voit une croix dans l’espace public, son sang ne fait qu’un tour. Surtout quand cette croix est proche et que la mort n’est pas loin… La semaine dernière, il a senti que son cœur flanchait […] Le mardi, il est hospitalisé à l’Hôpital cantonal du Valais, à Sion, service de cardiologie. Tout se passe bien […] Cela se gâte lorsqu’il est acheminé dans la chambre 926 pour se reposer. Face à la petite croix catholique noire, qu’il a aussitôt repérée au mur, il se cabre : « Je fus saisi d’un choc émotionnel, réel, je vous prie de me croire, en y apercevant bien visible, le symbole même de l’ignorantisme le plus obtus que je ne cesse de combattre à longueur de livres et d’articles. » C’est en ses termes qu’il a écrit, le 1er août, à la direction générale de l’hôpital, en lui retournant dans une enveloppe la croix qu’il a fait décrocher. Il dénonce « la mainmise de l’Église catholique sur un établissement cantonal censé être laïc ». Comme il est passé dans une deuxième chambre, la 917, rebelote : il a été confronté à une autre croix… Là, il l’a recouverte d’un linge « afin d’éviter à mon cœur des remous peu compatibles avec les soins qu’il nécessitait ». Depuis, il est rentré chez lui, à Leytron : « Je vais bien, affirme-t-il et je peux de nouveau conduire ma voiture… ». Mais, au bord des routes comme dans les chambres d’hôpital, les croix ou les crucifix ne manquent pas dans l’espace public valaisan […]
Sans compter le drapeau national suisse… Notre hurluberlu va-t-il aussi exiger qu’on le dissimule à sa vue ?
Source : Le Matin du Soir, 2 août (merci T. D. pour ce signalement)
Dieu désire que tous les hommes soient sauvés…Prions chacun au moins une fois pour ce monsieur…
Oui, je prie pour qu’il comprenne qui est Dieu : l’Amour seul capable de donner la joie de vivre.
Pitié non ! Je ne prie pas pour un sataniste qui se sent persécuté à la vue d’une croix.
Il a sa place en enfer et c’est tant pis pour lui !
Ce type est perdu corps et âme… Jamais il ne verra la Lumière éclatante de Notre Sauveur.
C’est dans le service psychiatrique qu’il aurait besoin d’être soigné !
Malheureusement, et sauf erreur de ma part, on ne sait pas encore faire de greffe de cerveau…
Tout le monde a déjà vu des enfants mal élevés demander quelque chose à leur mère au super marché, puis essuyant un refus se mettre à hurler pour faire plier la mère, qui cède ensuite. Ici en Suisse c’est un vieillard insupportable qui exige le retrait des croix. La fessée n’est plus de son âge, mais qu’il aille soigner sa “crux phobos” dans un pays où la croix est interdite avant qu’il ne s’attaque à la Croix Rouge” ou aux panneaux de signalisation routière de priorité ponctuelle qui évoquent une croix
Comme il a déjà un pied dans la tombe, il se figure qu’en ôtant la Croix il évitera le jugement de Dieu ! … qu’il doit craindre ! C’est vrai qu’il est vraiment capricieux et mal élevé !