Le Père Jésuite italien Paolo Dall’Oglio aurait été assassiné par les islamistes de l’État Islamique à Raqqa dès le lendemain de son enlèvement, soit le 29 juillet 2013, selon un article du quotidien libanais L’Orient-Le Jour. Une information en attente de confirmation, mais qui montre l’implacable attitude de ces bêtes féroces d’une organisation terroriste qui doit être au plus vite mise hors la loi internationale, ses dirigeants et militants trainés devant les tribunaux et châtiés comme il se doit.
Le prêtre jésuite italien Paolo Dall’Oglio a été exécuté [sic pour assassiné] en prison, a annoncé cette semaine un communiqué de la Ligue syrienne de défense des droits de l’homme, diffusé par la chaîne al-Arabiya. Le communiqué cite un officier dissident de l’État islamique en Irak et à Damas (Daech), Abou Mohammad le Syrien. C’est l’un des hauts responsables de ce groupe à Raqqa qui a personnellement exécuté le prêtre jésuite, après son incarcération au siège du mohafazat, deux heures après son arrestation, le 29 juillet 2013, a précisé le témoin. Ce dernier a précisé aussi que le père Dall’Oglio est arrivé à Raqqa le 28 juillet et a participé à une manifestation hostile au régime syrien organisée le soir même. Ce soir-là, il avait sollicité une rencontre avec l’émir de l’organisation, dans l’intention de demander la libération de journalistes étrangers. Mais sa demande avait été rejetée. Le lendemain, le père Dall’Oglio avait décidé d’insister et avait demandé à nouveau à rencontrer des responsables de Daech. Conduit au siège du mohafazat de Raqqa, où Daech avait établi son QG, il avait été arrêté à son arrivée, puis liquidé. La Ligue syrienne des droits de l’homme a condamné « le meurtre » du prêtre jésuite, précisant que les indications d’Abou Mohammad le Syrien doivent être considérées comme « crédibles », et recoupent des données qu’elle possédait déjà. Elle a précisé que ce dissident est prêt à témoigner en public des données en sa possession, mais qu’entre-temps, son identité véritable serait gardée secrète pour des raisons de sécurité. Rappelons que des proches du père Paolo Dall’Oglio avaient récemment lancé un appel en faveur de sa libération. Le prêtre jésuite avait découvert la Syrie, dans les années 80, et avait pris en charge, dans les années 1980, le monastère de Mar Moussa, où il prônait un discours interreligieux.
Source : L’Orient-Le Jour (30 juillet)
Il faut savoir avec qui on peut vraiment établir un dialogue inter-religieux.
Le discernement prôné par la compagnie est une vertu essentielle.
Je pense aux parents de se prêtre parti pour faire le bien et assassiné par les suppôts de l’esprit de haine ,Seigneur Jésus donne leurs la force de tenir ,étant âgé ils nous est difficile de comprendre toutes ses haines.Viens Seigneur Jésus.