Une lectrice (merci J. B. !) me communique un lien vers un article de site du quotidien L’Est Républicain, qui signale un vol, des actes de vandalisme et de profanation dans l’église Saint-Léger de Delle (Territoire de Belfort). Hier, je vous signalais une église des Pyrénées-Atlantiques souillée d’excréments humains. Dans ce cas d’aujourd’hui les profanateurs ont uriné autour de l’autel…
Les paroissiens de Delle n’ont pas de mots assez durs pour manifester leur émotion après la profanation et le vol qu’a connu l’église Saint-Léger. Beaucoup se trouvaient partagés entre dépit, dégoût, réprobation et colère. D’après les éléments de l’enquête, le ou les suspects se serai(en)t emparé(s) du tronc qui est situé à la droite de l’autel. Selon les témoins, l’opération a été menée très proprement en démontant le tronc avec des outils. Doit-on en déduire que le ou les auteurs étaient des professionnels ? On serait tenté de répondre par la négative en constatant qu’il ou qu’ils n’a ou n’ont pas enlevé un tronc situé au fond de la nef. Malgré tout, le vol cause un préjudice moral et financier à la paroisse. Car le tronc servait à recueillir les dons et le produit de la vente de cierges. Selon les bénévoles, l’église recueillait, en moyenne une somme tournant autour des 45 €. Peut-on en déduire que le vol était l’unique but de l’équipée dans l’église de Delle ? Visiblement non car le ou les auteurs ne se sont pas arrêtés là. Il(s) ne s’est pas (ne se sont) pas privé(s) pour récupérer les cierges stockés dans une boîte en bois à compartiments. Il ou ils les ont brisés en plusieurs morceaux, en les jetant sur le sol. Pour couronner le tout, le ou les suspect(s) ont uriné autour de l’autel, ce qui a réellement choqué les paroissiens. L’incompréhension était d’autant plus vive que les bénévoles ignoraient les causes exactes de ces agissements. Ceux-ci ont été découverts par hasard, vendredi après-midi [15 mai], avant une célébration d’obsèques par une bénévole qui venait arroser les fleurs. Elle a alors cru bien faire en épongeant l’urine, ce qui au passage a effacé d’éventuelles traces. Vol et profanation se sont vraisemblablement déroulés en pleine journée. Ce qui pose évidemment le problème du maintien de l’ouverture au public de l’église delloise entre 7 h 15 et 18 h. Les paroissiens sont en effet attachés à cette situation pour permettre aux fidèles de se recueillir, de prier ou de faire un don, comme les y invitent de grandes affiches. Dans un premier temps, les enquêteurs ont recommandé la fermeture de l’église en dehors des célébrations pour quelques jours. Sur le plan des faits, ils se font un point d’honneur à retrouver le ou les suspects. C’est le message qu’ils ont communiqué à la paroisse.
Source : L’Est Républicain (19 mai)
Mise à jour du 22 mai (7 h)
Satan se déchaîne à travers des personnes promptes à lui obéir ! tel Judas qui a vendu NOTRE SEIGNEUR…
Très Sainte Trinité, Père, Fils et Saint Esprit, je Vous adore profondément et je Vous offre, les très Précieux Corps, Sang, Ame et Divinité de N.S.J.C. Présent dans tous les Tabernacles de la Terre, en réparation des offenses, outrages, blasphèmes et indifférences par lesquels IL est LUI-MEME offensé….
C’est insupportable cette escalade de profanations, exactions, vols….
On ne pourra pas mettre un gendarme en faction devant chaque édifice jour et nuit. Même s’il y avait une volonté politique authentique d’agir. Nous devons nous organiser nous-mêmes pour garder nos églises. Instaurer des gardes quand cela est possible ou penser à d’autres initiatives. Chaque église doit trouver son mode propre.
En tout état de cause, agir.
Et l’installation de caméras vidéos ? Peut-être que cela aurait un effet dissuasif.
quelle catégorie sociale déteste à ce points le christianisme pour que dans chaque département, toutes les semaines, une église soit profanée? si un responsable est arrêté on dit qu’il est fou