Pour avoir exprimé des opinions non “politiquement correctes” sur la sexualité en s’appuyant sur la Bible… Un article de Paul Ohlott sur le site de DieuTV, une chaîne de télévision protestante, expliquait l’affaire le 19 juillet dernier.
Tony Miano, 49 ans, est un ancien officier supérieur de la police des États-Unis, devenu aujourd’hui un prédicateur de rue. Après avoir prononcé publiquement un sermon sur «l’immoralité sexuelle», dans une rue de Londres, il a été arrêté et détenu pendant environ six heures. Durant sa détention, Tony Miano a été interrogé sur sa foi et les policiers ont relevé ses empreintes digitales [d’autres sources signalent que la police a également procédé à un prélèvement ADN : cf. Nicolas Buss ! L’Obs]. M. Miano, qui a servi comme shérif adjoint au Comté de Los Angeles, a déclaré que selon son expérience, il n’était pas exagéré d’affirmer que la «police de la pensée» est aujourd’hui une réalité au Royaume-Uni. Ce prédicateur zélé a manifesté son étonnement face à une telle situation, dans un pays qui avait signé la «Magna Carta» (Grande Charte, le 15 juin 1215). Cette «Grande Charte» garantit le droit à la liberté individuelle et empêche l’emprisonnement arbitraire. Selon le magazine ChristianityToday, Tony Miano «a chanté des cantiques dans sa cellule» et n’a pas hésité à «répéter publiquement que l’homosexualité est un péché», tout en expliquant à la police qu’il n’était pas homophobe, puisqu’il n’avait pas peur des homosexuels. Sa seule intention : prêcher la vérité de l’Evangile. Malgré cette mésaventure, le magazine précise que, pour le moment, «M. Miano reste libre de poursuivre sa campagne d’évangélisation dans le sud de Londres et de prêcher la bonne nouvelle de la rémission des péchés par la foi dans le Seigneur Jésus».
Source : DieuTV
Que d’autre aussi puisse faire comme lui, prêcher la vérité
Que Dieu le bénisse
“a déclaré que selon son expérience, il n’était pas exagéré d’affirmer que la «police de la pensée» est aujourd’hui une réalité au Royaume-Uni. Ce prédicateur zélé a manifesté son étonnement face à une telle situation, dans un pays qui avait signé la «Magna Carta» (Grande Charte, le 15 juin 1215).”
Qu’il n’hésite pas à faire part de son étonnement à tout son réseau.
Je ne suis pas cathophobe, mais j’aimerais quelques réponses à mes questions (à propos de la vérité de Dieu) :
je souhaiterais vendre ma fille comme servante, tel que c’est indiqué dans le livre de l’Exode, chapitre 21, verset 7. A votre avis, quel serait le meilleur prix ?
Le Lévitique aussi, chapitre 25, verset 44, enseigne que je peux posséder des esclaves, hommes ou femmes, à condition qu’ils soient achetés dans des nations voisines. Un ami affirme que ceci est applicable aux mexicains, mais pas aux canadiens. Pourriez-vous m’éclairer sur ce point ? Pourquoi est-ce que je ne peux pas posséder des esclaves canadiens ?
J’ai un voisin qui tient à travailler le samedi. L’Exode, chapitre 35, verset 2, dit clairement qu’il doit être condamné à mort. Je suis obligé de le tuer moi-même ? Pourriez-vous me soulager de cette question gênante d’une quelconque manière ?
le Lévitique, chapitre 21, verset 18, dit qu’on ne peut pas s’approcher de l’autel de Dieu si on a des problèmes de vue. J’ai besoin de lunettes pour lire. Mon acuité visuelle doit-elle être de 100% ? Serait-il possible de revoir cette exigence à la baisse pour servir à l’autel ?
Mon oncle ne respecte pas ce que dit le Lévitique, chapitre 19, verset 19, en plantant deux types de culture différents dans le même champ, de même que sa femme qui porte des vêtements faits de différents tissus, coton et polyester. De plus, il passe ses journées à maudire et à sacrer. Est-il nécessaire d’aller jusqu’au bout de la procédure embarrassante de réunir tous les habitants du village pour lapider mon oncle et ma tante, comme le prescrit le Lévitique, chapitre 24, verset 10 à 16 ? On ne pourrait pas plutôt les brûler vifs au cours d’une simple réunion familiale privée, comme ça se fait avec ceux qui dorment avec des parents proches, tel qu’il est indiqué dans le livre sacré, chapitre 20, verset 14 ?