Un groupe féministe qui se dit le Comando Feminista Informal de Acción Antiautoritaria (commando féministe informel d’action antiautoritaire) a revendiqué l’attentat commis dans la nuit du 25 juillet contre le siège de la Conférence épiscopale du Mexique à Mexico. Selon son communiqué, qui se ponctue par un « !Ni dios, ni amo! » (ni dieu ni maître), l’engin explosif se composait de dynamite, de gaz de pétrole liquéfié et de gaz butane. Toutefois, les services du procureur de la ville de Mexico indiquent ne pas avoir trouvé trace de ces substances dans les analyses de la police scientifique. La revendication pourrait donc être fausse et l’attentat commis par un quelconque groupuscule anarchiste.
Source : ACI Prensa, 26 juillet