Si les chrétiens ne meurent plus « pendus ou écartelés », ils sont « souvent exclus, ridiculisés ou caricaturés » et victimes « d’ostracisme ou de persécution », a déclaré dimanche à Birmingham le pape Benoît XVI. La culture montre des « signes inquiétants » d’une « croissante marginalisation de la religion, particulièrement du christianisme ».
Pour lutter contre les formes les « plus agressives de sécularisme », Benoît XVI a milité, dans un discours qualifié d’« historique » vendredi soir, devant les plus hautes personnalités du Royaume-Uni, pour une réconciliation entre politique et religion. « La religion, n’est pas un problème que les législateurs doivent résoudre, mais elle est une contribution vitale au dialogue national. »
Côme Dubois