Daniel Hamiche est journaliste et président de l’association Amitié catholique France/États-Unis. Il a lancé, en 2007, le blogue Americatho (aujourd’hui membre du portail de réinformation Riposte Catholique). Il est administrateur et rédacteur du blogue L’Observatoire de la Christianophobie.
Hé oui, ma bonne Christine, ton interlocuteur a raison sur le fond : nous, nous pouvons interpréter ou compléter (pas très judicieusement au cours des siècles, nous l’avons avoué) nos textes saints qui ne sont pas toujours univoques ou universellement directifs -en particulier pour tous les actes de notre vie.
Un musulman, lui, se trouve face à des explicites si forts et si nombreux qu’il lui faut ignorer ou escamoter une bonne partie du Coran pour arriver à être de bonne compagnie. Les soufis se font très mal voir de leurs frères qui les tolèrent surtout chez nous pour faire des conversions chez les bobos ou assimilés, parce qu’ils déploient des prodiges de réflexion pour adoucir en symboles le plus possible d’affirmations et d’exigences, et qu’ils affirment même, je crois, qu’il y a plusieurs lectures du Coran, selon le niveau intellectuel – ce qui ne me rassure pas quand on se souvient des propos de feu Georges Frèche sur la proportion d’imbéciles dans une population…
La seule chose à retenir, Christine, c’est que les politiques doivent bouger et que l’avenir s’annonce mal.
Le coup de la coexistence, c’est pour ne pas désespérer ton curé et les chrétiens candides ? il faut dire que toi aussi tu l’as tentée, d’une autre façon, en étant “aux affaires”, et tu as eu tort !
Les politiques ne bougeront pas. En France, comme en Europe, comme dans le monde occidental, on considére que la religion appartient à la sphére privée. D’où la liberté de culte et le respect dû à chacune des religions. Ce qui n’est pas le cas dans le monde musulman où la religion c’est aussi l’Etat. Les deux étant indissociables. Christine Boutin parle comme saint Jean bouche d’or!
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Hé oui, ma bonne Christine, ton interlocuteur a raison sur le fond : nous, nous pouvons interpréter ou compléter (pas très judicieusement au cours des siècles, nous l’avons avoué) nos textes saints qui ne sont pas toujours univoques ou universellement directifs -en particulier pour tous les actes de notre vie.
Un musulman, lui, se trouve face à des explicites si forts et si nombreux qu’il lui faut ignorer ou escamoter une bonne partie du Coran pour arriver à être de bonne compagnie. Les soufis se font très mal voir de leurs frères qui les tolèrent surtout chez nous pour faire des conversions chez les bobos ou assimilés, parce qu’ils déploient des prodiges de réflexion pour adoucir en symboles le plus possible d’affirmations et d’exigences, et qu’ils affirment même, je crois, qu’il y a plusieurs lectures du Coran, selon le niveau intellectuel – ce qui ne me rassure pas quand on se souvient des propos de feu Georges Frèche sur la proportion d’imbéciles dans une population…
La seule chose à retenir, Christine, c’est que les politiques doivent bouger et que l’avenir s’annonce mal.
Le coup de la coexistence, c’est pour ne pas désespérer ton curé et les chrétiens candides ? il faut dire que toi aussi tu l’as tentée, d’une autre façon, en étant “aux affaires”, et tu as eu tort !
Les politiques ne bougeront pas. En France, comme en Europe, comme dans le monde occidental, on considére que la religion appartient à la sphére privée. D’où la liberté de culte et le respect dû à chacune des religions. Ce qui n’est pas le cas dans le monde musulman où la religion c’est aussi l’Etat. Les deux étant indissociables. Christine Boutin parle comme saint Jean bouche d’or!
Bravo Christine… heureusement que tu es là pour nous sauver.