Après les catholiques dont un sanctuaire a été récemment vandalisé, c’est au tour des protestants d’être attaqués par des hindouistes dans l’État du Karnataka, qui est un des endroits de tous les dangers pour les chrétiens de l’Inde.
Le 6 juillet, comme ils le font une fois par mois, les fidèles de l’Immanuel Sakineh Church de Ramagundahally (Karnataka), étaient réunis chez le pasteur Mounesh, pour une journée de jeûne et de prière. Vers 16 h, une trentaine de militants du Shangar Parivar, un groupe extrémistes hindou, firent irruption dans cette “église à la maison”, insultant la cinquantaine de fidèles présents et se mettant à la frapper au motif que la congrégation se livrerait à des « conversions forcées », une vieille rengaine… Ils ont déchiré des Bibles et d’autres imprimés de la congrégation et on laissé sur le carreau plusieurs blessés. En outre, les agresseurs ont téléphoné à la police qui est venue interpeller le pasteur Mounesh lequel n’a du sa libération qu’à l’intervention énergique du Global Council of Indian Christians (GCIC). Rendus furieux par la libération du pasteur, les extrémistes hindous sont revenus le lendemain, 7 juillet, pour saccager le domicile-église du pasteur faisant trois nouveaux blessés qui ont du être hospitalisés.
D.H.
Source : Christian Persecution Update
Jésus avait prévenu “comme ils me persécuteront vous le serez aussi” mais les dirigeants de cet état sont responsables de ce qui s’y passe