Selon le New York Times du 25 février, l’épouse de Said Musa, “dont le nom n’est pas rendu public pour des raisons de sécurité” et qui vit maintenant au Pakistan, a déclaré qu’elle n’avait pas eu de nouvelles de son mari et qu’elle ne savait pas s’il avait été libéré.
“Je suis très inquiète à son sujet”, dit-elle. “Je ne sais pas comment il a pu passer tout ce temps en prison, en cet hiver glacial. Même s’il a été libéré, je ne sais pas où il pourrait être à présent. Peut-être qu’il se trouve dans une ambassade étrangère pour le protéger”.
La constitution de la République islamique d’Afghanistan, créé en 2004, garantit aux Afghans la « liberté de pratiquer leur foi”. Mais les tribunaux peuvent s’appuyer sur la charia (la loi islamique) sur des sujets comme celui de la conversion de l’islam à une autre religion. Or, selon la charia, abandonner l’islam est considéré comme une apostasie, un délit puni de mort.
Selon le New York Times, un procureur principal impliqué dans l’affaire, parlant sous couvert d’anonymat, a expliqué que Said Musa avait été libéré non pas faute de preuve mais seulement après avoir accepté de revenir à l’islam. Intox pour sauver la face de la “justice” islamique afghane ?
Pendant ce temps, le chrétien Shoaib Assadullah, 23 ans, est en attente d’être jugé pour avoir donné un Nouveau Testament. Il risque la peine de mort ou une peine de prison de 20 ans. Son procès aurait du débuter le 4 janvier 2011 mais des pressions internationales l’en ont empêché. La maman de Shoaib Assadullah est décédée alors que son fils était en prison. En contradiction avec la loi afghane, il n’a même pas eu le droit de se rendre à son enterrement.
Dans une lettre traduite par le Fonds Barnabas, Shoaib Assadullah raconte qu’il est battu et menacé par ses codétenus. Le jeune Afghan, qui ne dispose de l’aide d’aucun avocat, a également été poussé à renier sa foi.
Côme Dubois
Nous avions oublié que les orientaux sont des champions de la manipulation.
Justement, la manipulation, c’est recommandé dans leur livre vert. On appelle cela la taqiyya.
Un article détaillé sur Poste de Veille sur cette pratique :
http://www.postedeveille.ca/2010/01/raymond-ibrahim-comment-la-taqiyya-modifie-pour-lislam-les-r%C3%A8gles-de-la-guerre.html
Merci, Valentin. Cet exposé est remarquable.
Merci Valentin pour la communication de ce lien.
En somme, la “Taqiyya” est le langage du “serpent ancien” cité dans la Genèse, c’est à dire le diable, le père du mensonge qui est aussi “l’esprit de l’erreur” (1 jean 3:8). Franchement, je plains ceux qui en sont les disciples sachant ce qui leur est réservé (Apocalypse 19:20).
Plaignez-les, bon Jofel… d’ici à l’Apocalypse, il nous faut les affronter et les subir.
De rien pour l’article. Mais je ne sais même plus si je dois encore les plaindre, ou les mépriser dorénavant vu comment je me sens à force de subir de leur part. Mais je sais que je n’ai pourtant pas à leur faire en retour ce qu’ils nous font quotidiennement…