
Contrairement à ce que j’écrivais avant-hier, la Cour suprême de Téhéran, selon une dépêche de l’AFP reprise par Assyrian International New Service, et fondée sur une déclaration de l’avocat du pasteur, Mohammad Ali Dadkhah, a annulé la sentence de mort prononcée contre le pasteur Yousef Nadarkhani, et renvoyé l’affaire au tribunal de Rasht après avoir « demandé à l’accusé de se repentir » de sa conversion au christianisme. Selon l’avocat, l’arrêt de la Cour suprême aurait été lu par téléphone au pasteur Nadarkhani, ce qui est quand même un procédé assez incongru quand il y va de la vie d’un homme. L’avocat prévoit de se rendre à Rasht où est détenu le pasteur pour s’entretenir avec lui de la nouvelle tournure que prend l’affaire. L’avocat Dadkhah a, de son côté, été condamné dimanche par un tribunal de Téhéran à neuf années d’emprisonnement et dix années d’interdiction de pratiquer son métier d’avocat pour « actes et propagande contre le régime islamique » ! L’avocat est accusé d’avoir accordé des entretiens à des radios étrangères et d’avoir coopéré avec le Center for the Defence of Human Rights (également connu comme Defenders of Human Rights Center), fondé à Téhéran par le Prix Nobel de la Paix 2003, la juriste iranienne Shirin Ebadi réfugiée à Londres…
Daniel Hamiche
Source : Assyrian International News Agency
méthodes radicales pour empecher le christianisme de vivre! que proposent les chrétiens d’Iran pour défendre leur religion? peuvent-ils proposer quelquechose en dehors de pratiquer dans les catacombes!!
Il faut prendre les armes pour chasser “la vermine islamique” qui veut contrôler la France, et rendre à la France sa tradition et sa culture judéo-chrétienne, faite d’ amour, de pardon et de générosité.
Et si l’on prenait plutôt les “armes” de l’Évangile : amour, pardon et générosité ?
Pour concilier Daniel et Sam :
on est DEJA dans la stratégie de l’Evangile, utilisée en fait contre les Chrétiens, même par les athées qui regardent en revanche l’islam avec grand optimisme.
Si cela ne marche pas, reste le martyre MAIS dans un pays qui garde encore le douloureux souvenir de la précédente occupation
celle des mahométans, portée par des envahisseurs largement aussi dangereux que les précédents et tenant largement autant de territoires sous leur joug,
ne sera pas forcément subie avec récitation de rosaires !
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NB: durant la période 39-45, les religieux ne prenaient pas les armes, mais n’ont pas fait que prier, recueillir des persécutés ou se substituer à des condamnés: ils s’arrangeaient souvent pour aider ceux qui combattaient, et sans leur prêcher de rendre les armes et d’aider leurs frères nazis à revenir vers de meilleurs sentiments !
Voilà le prix quelqu’un doit payer pour défendre la vérité en Iran. Malheureusement il y a déjà 120.000 qui ont perdu la vie pour la vérité et la liberté, et ça ne suffit pas encore. A ce moment le camp Achraf, dansquel 3400 réfugiés iraniens résistent contre l’intégrisme islamique est en danger. Aidez-nous à défendre leurs droits aussi.
Facebook groupe ‘nous résisterons – Iran’
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Communiqué officiel du Conseil National de l’Église d’Iran :
Le Conseil National de l’Église d’Iran dément les rumeurs relayées par l’AFP selon laquelle la condamnation à mort du pasteur Youcef Nadarkhani aurait été annulée par la Cour Suprême de Justice.
Dans son verdict émis le 12 Juin 2011, la Cour Suprême a, au contraire, reconnu le bien-fondé de la sentence capitale prononcé (sur la base de trois fatwas), par un tribunal d’exception de Rasht, tout en évoquant néanmoins certains vices de procédure. Il a cependant été demandé aux juges locaux de s’organiser pour obliger le pasteur Youcef Nadarkhani à renier sa foi chrétienne, sous peine d’être exécuté pour apostasie.
La rumeur relayée par l’AFP pour des raisons inconnues et reprise malheureusement par des médias chrétiens, fait avant tout écho à des rumeurs circulant AVANT la notification officielle du verdict aux avocats le 11 juillet dernier.
Nous tenons à rappeler que la condamnation à mort du pasteur Youcef Nadarkhani répond avant tout à des impératifs d’ordre politique et qu’il viole les articles 13,14 et 24 de la Constitution iranienne, conforme à la Sharia, ainsi que le Code Pénal Islamique qui n’évoque pas le crime de pensée.
L’accès à une information libre et exacte étant l’un des fondements de la démocratie, nous regrettons vivement que dans cette affaire, l’AFP ait pu servir de relais involontaire à une telle désinformation.
http://www.eglisediran.org/?p=92
D’autres posts ont été publié ici postérieurement à celui que vous commentez, qui précisent toutes ces choses. Merci.
Nous disons merci Seigneur Jésus Christ pour cette première étape de son Serviteur,car nous savons que la justice de notre Dieu est plus que celle de ce monde,et nous ne cesserons pas de prier à notre seul Sauveur et Seigneur pour que son Instrument soit totalement libre et qu’il soit seulement le prisonnier de Christ comme avait déclaré l’Apôtre Paul.
Amen