Dans La Nef de février, le Père Gabriel Picard d’Estelan, curé de la paroisse Saint-Jean Baptiste d’Avignon, témoigne de la christianophobie qui touche sa communauté paroissiale :
“Depuis un an, des dégradations diverses ont touché notre église. Tout a commencé vraiment à la Noël 2009 : pendant la veillée et la Messe de Minuit, des « jeunes » ont lancé des pétards et s’en sont pris à l’une des voitures qui stationnaient devant l’église. Puis, quasiment toutes les semaines, l’église a été la cible d’incivilités de plus en plus choquantes et graves : jets de pierres sur les vitres, saletés en tout genre devant la porte d’entrée, bouteilles de bière brisées le long des murs ; enfin au moment de la kermesse en juin 2010, des tags orduriers et des slogans politiques (Islam en force) sur les murs de l’église. Nous avons averti les pouvoirs concernés, mais cela tombait un week-end et nous avons donc nettoyé nous-mêmes ces tags en les recouvrant de peinture, après avoir porté plainte avec photos à l’appui. À partir de ce moment là, il y a eu de plus en plus d’agressions caractérisées : un « jeune » est venu uriner dans l’église pendant la messe, quelqu’un a tenté de brûler le panneau d’affichage, les boites aux lettres ont été saccagées ; pendant la messe en semaine des jets de bâtons et de pétards, y compris sur les personnes âgées qui sortaient de l’office ; puis des insultes à caractère raciste et antichrétien, comme celle-ci : « sale p…, on va te griller toi et ton église. » Cette menace est passée à exécution puisque, une nuit, notre magnifique cyprès a été incendié. Sans la vigilance de voisins qui ont appelé les pompiers, nous aurions retrouvé le matin une église brûlée et calcinée.
C’est pour dénoncer ces agissements et protéger la liberté de culte et la liberté de nos paroissiens que, une fois une plainte déposée, j’ai convoqué la presse locale.
(…) Tous les observateurs, politiques, sociologues, policiers, arrivent à la même conclusion : une très nette aggravation des dégradations et des violences à l’encontre des monuments chrétiens en France. J’ai reçu plusieurs mails de confrères prêtres et de fidèles laïcs qui m’ont raconté ce qu’ils vivaient chez eux. D’autre part, ce qui s’est passé à Carcassonne (interruption violente de la messe du 2 novembre, dégradation, slogans antichrétiens), pratiquement au même moment que chez nous, indique clairement que certains « jeunes » n’ont plus peur de s’en prendre aux églises, comme ils n’ont plus peur, depuis bien longtemps, de s’en prendre aux bâtiments publics.”
Côme Dubois
Ces demeurés de mahométans nous ont déclaré la guerre depuis un bon bout de temps. Mais ce qu’ils exigent, c’est bien la destruction des édifices chrétiens et juifs pour les remplacer par des mosquées à la con ! Notez le silence complaisant, voire complice de nos “merdias” et élus de l’UMPS et bobos-gauchos à la pelle !
Un témoignage annexe : à Carcassonne, pourtant expert en dialogue inter- religions ,le curé de l’église dans laquelle les jeunes ont fait irruption le 2 novembre a dit sa préoccupation face à la montée du communautarisme chez les jeunes ; l’émotion a été assez grande, juste après le massacre en Irak, pour que soit célébrée une messe de reconciliation avec présence de l’imam venu de la mosquée de l’autre côté de la rue, lequel imam a demandé pardon au nom de sa communauté et promis de chercher les coupables.
Notre souriant évêque, qui concélébrait l’office, a fait des grâces au jeune imam (comment s’y prennent-ils chez eux pour recruter autant de prêtres jeunes ?) et a détendu l’atmosphère pesante en parlant de gamineries et de guerre des boutons…
J’ajoute que cette messe de réconciliation a eu lieu en présence de la préfète et du député-maire socialiste: chez nous, la réaction a été saine, c’est une consolation.
Et, alors, pour l’agression de l’église à Carcassonne, est-ce que les autorités ou le “jeune imam” ont trouvé les maudits coupables ?!! Ils connaissent la vérité et personne ne dit rien, surement.
Je crois que l’on devrait attaquer les imams en justice, puisqu’ils ne peuvent tenir leurs ouailles:leur responsabilité pénale est engagée puisque, qui ne dit mot consent.
“Pas de problème avec l’immigration” voilà le maître-mot de la mairie d’Avignon (ump; on note l’entente avec l”‘opposition” Pc-Ps-écolos…). Chers élus le problème il est né avec l’islam, aussi chers électeurs éviter de voter pour les partis collaborationnistes.
Nous voyons clair, mes amis, dans le jeu des “imams” et de l’umps. La France avec l’aide du Tout-Puissant Vaincra. Amen.
Pour Carcassonne, cher Philippe, les coupables ont peut-être été trouvés.
Mais comme il s’agit de JEUNES, vous savez comment ça se passe! quelles que soient leur foi et leur couleur, cela finit toujours de la même manière :
– surtout ne rien annoncer au public pour ne pas gâcher leur avenir
– puis essayer d’arranger les choses dans leur intérêt
– “d’autant qu’à cet âge-là” ETC ETC
Je le sais Véronique; Qui pourra un jour rétablir une “certaine” Justice ?
Surtout que face à des “jeunes”, la “justice” cherche à extorquer aux plaignants des (faux) aveux de plaintes imaginaires. J’ai vécu cela après une agression subie de la part d’islamo-racailles. Bref, on a là une Justice de pays totalitaire !
Ce qui me surprend c’est pourquoi le prêtre n’a pas porté plainte tout de suite : cette bande de vauriens en a largement profité ! car qui ne dit mot, consent. Et ensuite la violence est de plus en plus forte… J’espère qu’avec cet exemple épouvantable pour ce diocèse, les évêques et les prêtres cesseront d’être aveugles et passifs.